La présente traduction a été réalisée à partir de l'édition de 1993 de l'ouvrage original, intitulé The Hoax of the Twentieth Century, publié par l'Institute of Historical Review.
L'une des meilleures conférences de Vincent Reynouard.
L'orateur explique comment comment mener une discussion face à des non-révisionnistes. Cet exposé lui permet de contrer les sempiternels arguments opposés aux révisionnistes : « Chambre à gaz ou pas, qu'est-ce que ça change ? », « Une poignée de négationnistes ne peuvent à avoir contre tous les historiens », « Le négationnisme est un antisémitisme masqué et très dangereux »...
Vincent Reynouard repend ainsi, en les résumant pour être plus percutant, les arguments révisionnistes les plus chocs : l'origine des clichés pris par les Alliés dans les camps en 1945 ; ce qu'était la « Solution Finale » pour les dirigeants allemands, les constats matériels évidents qui contredisent la thèse officielle ; la non-valeur des photos qui montreraient l'extermination des juifs à Auschwitz...
Mais surtout, V. Reynouard explique comment, de 1945 à aujourd'hui, la croyance en l'existence des chambres à gaz a pu s'imposer sans preuves matérielles ni documentaires : tout à commencé avec les procès d'après-guerre ou rien n'a été démontré. Puis, le fait étant devenu « démontré » par décision de justice, les historiens se sont crus autorisés à écrire leurs livres sans rechercher de preuves. Depuis les années 90, il persiste à croire parce qu'il en va de la survie du Système et d'Israël.
Un exposé choc !
Plan de l'exposé
I. La question piège : « Pour vous, l'inexistence des "chambres à gaz" serait-elle une bonne ou une mauvaise nouvelle ?
II. Réponse à l'argument : « Chambres à gaz ou pas, qu'est-ce que ça change ?
Des clichés qui montrent des déportés morts, mais pas « assassinés »
La Shoah est indissociable des « chambres à gaz » homicides
Si votre interlocuteur vous retourne la question...
III. Réponse à l'argument : « Une poignée de révisionnistes ne peuvent avoir raison contre tous les historiens »
1945 : l'existence des « chambres à gaz » est « établie » sur la base de quatre faux témoignages
1945-1946 : le Tribunal de Nuremberg se fonde sur la « notoriété publique »
Depuis 1946, les historiens partent du postulat que les « chambres à gaz » ont existé
Une « convergence des preuves » illusoire
Un cas flagrant où les historiens croient malgré l'absence de preuves matérielles et documentaires
IV.Un mensonge grossier, car issu de la propagande soviétique
Conclusion : les Juifs et les antirévisionnistes doivent répondre adéquatement
ÉCRITS RÉVISIONNISTES DE ROBERT FAURISSON
1974 à 1998 en quatre volumes
ÉCRITS RÉVISIONNISTES I ..... 1974 - 1983 ..........page 2 à 515
ÉCRITS RÉVISIONNISTES II ..... 1984 - 1989 ..........page 516 à 969
ÉCRITS RÉVISIONNISTES III ..... 1990 - 1992 ..........page 970 à 1507
ÉCRITS RÉVISIONNISTES IV ..... 1993 - 1998 ..........page 1508 à 2225
Version papier disponible sur le site Omnia Veritas
https://www.omnia-veritas.com/
10 février 1933, annoncé par Joseph Goebbels au Palais des Sports de Berlin, le Führer Adolf Hitler arrive en traversant la foule pour donner son premier discours de grande envergure depuis son accession au pouvoir, le 30 janvier 1933. Cet évènement filmé et enregistré a pu être entendu par plus de 20 millions d'Allemands, une première mondiale sans précédent à cette époque.
Camps de concentration :
ni une invention "nazie", ni des instruments d'extermination.
Dans cette série en quatre parties, Reynouard expose l’histoire des camps de concentration inventés par les « bons » : l’Espagne (en 1896), la Grande-Bretagne (en 1900) et les États-Unis (en 1901).
Il raconte toute la propagande qu’à l’époque, les ennemis de ces nations ont organisée à leur propos afin de les présenter comme des « camps d’extermination ». Il explique ses mécanismes assez simples, fondés sur la généralisation abusive. Puis il rétablit la vérité sur ces camps et, s’appuyant sur quelques exemples flagrants, il pose la question : en 1945, n’est-ce pas la même propagande qui fut utilisée ? (Réponse dans la prochaine série.)
Épisode 1 :
1°) Une mémoire effacée puis remplacée pour des raisons politiques
2°) 1896-1901 : l'Espagne, l'Angleterre et les États-Unis inaugurent d'ère des camps
- 1896 : les camps espagnols à Cuba
- 1901 : Les camps américains aux Philippines
- 1900 : les camps britanniques en Afrique du Sud
Épisode 2 :
3°) Le sempiternel argument : « C'est pas pareil ! »
4°) Quand les camps des « bons » étaient des « camps d'extermination »
5°) L'histoire objective des camps espagnols, américains et britanniques
- Les camps américains aux Philippines
Épisode 3 :
- Les camps espagnols à Cuba
- Les camps britanniques en Afrique du Sud
Épisode 4 :
6°) Conclusion : pour une histoire objective des camps allemands
Date de publication : 2017
Immédiatement après la Seconde Guerre mondiale, des Français ont tondu des femmes françaises qui avaient collaboré ou eu des relations avec des soldats allemands et les ont humiliées. Ces photos restent de ce triste souvenir.