Mon-Fils,-Ma-fille,Mon-enfant-que-je-n'ai-pas-fait
Mon Fils, Ma fille,Mon enfant que je n'ai pas fait
Mon fils,
Ma fille,
Mon enfant que je n’ai pas fait,
Chair de ma chair, qui est restée dans les limbes,
Si tu portes présentement ton regard sur cette planète que ses habitants
Appellent la Terre,
Comme tu dois te voir stupéfait(e) à observer
Le règne de l’absurdité,
Comme tu dois être abasourdi(e) en constatant
À quel point tant d’êtres ont peur de vivre,
Comme tu dois être triste
À voir l’iniquité y régner en maître,
Comme tu dois souffrir devant toutes les coercitions
Que s’imposent les hommes,
Comme tu dois être révolté(e) face au consentement
Des esclaves volontaires
On nous a confinés,
Mon fils,
Ma fille,
Mon enfant que je n’ai pas fait,
Chair de ma chair, qui est restée dans les limbes,
On nous a emprisonnés,
On nous a masqués,
On nous a terrorisés,
On a conçu le charlatanisme politique comme la nouvelle doxa,
On a érigé le Veau d’or sanitaire, cette idole des grands lobbies,
On a traîné les sages, les sommités, les références intellectuelles
Dans la boue du mensonge,
On a fait des fausses nouvelles la vérité d’aujourd’hui,
On a poussé à la délation
Des quelques ceux qui ne voulaient pas entrer dans le moule de la pensée unique,
On a même tenté de canoniser une vaccination mondiale
Avant même qu’elle n’existe ou qu’elle révèle la moindre efficacité
Cependant,
Mon fils,
Ma fille,
Mon enfant que je n’ai pas fait,
Chair de ma chair, qui est restée dans les limbes,
Des voix se sont levées
Un peu partout, aux quatre coins du monde
Et ces voix,
Mon fils,
Ma fille,
Mon enfant que je n’ai pas fait,
Chair de ma chair, qui est restée dans les limbes,
Ces voix se rassemblent désormais,
Toujours plus nombreuses,
Toujours plus sonores,
Ces voix s’opposent à l’oligarchie mondiale et au silence complice,
Ces voix crient au monde
Qu’un autre chemin que celui de la peur, de la coercition, de l’esclavage et de l’absurde existe
Ces voix,
Mon fils,
Ma fille,
Mon enfant que je n’ai pas fait,
Chair de ma chair, qui est restée dans les limbes,
Ces voix,
Les vautours ne les arrêteront plus
Ces voix sont prêtes à donner leur vie
Pour que tous ces fils,
Pour que toutes ces filles,
Pour que tous ces enfants qui ont été faits,
Pour que toutes ces chairs, issues d’autres chairs,
Contribuent, un jour, à ce que le monde soit aussi beau que les limbes.
Texte de Laurent Deveux de liège en Belgique
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Réponse : nana
Merci
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