Pour-ceux-qui-pensent-que-la-terre-est-surpeuplée
Pratiquement chaque jour les médias de masse diffusent de nouveaux articles renforçant l’idée que les humains sont des parasites infectant la planète, la surpeuplant et pompant ses ressources. Le chiffre magique, 7 milliards, nous est jeté à la figure comme une accusation, un sort, comme s’il était établi que tant de gens vivant sur la planète était une condamnation à mort automatique pour le monde et tout ce qu’il supporte.
Bryan Wash du Time magazine a déclaré que l’environnement serait la véritale victime de la surpopulation. Dans son article “Zero Population Growth = Healthier Planet ?” Time Wall de Discovery News écrivit: “Un nombre stable d’humains sur la planète ne veut pas nécessairement dire mois d’impact sur l’environnement, mais cela aide.” Les auteures sur le changement climatique Mary Ellen Harte et Anne Ehrlich, coordinatrices politiques pour le Centre de la Conservation de la Biologie de l’université de Stanford, ont posé la question: “Quel est le plus gros problème du monde ?” et y ont répondu en disant: “trop de gens” dans le Los Angeles Times. Rita Chestney de l’agence Reuters a récemment rapporté que 100 millions de personnes mourront d’ici à 2030 à cause du changement climatique anthropogénique qui dévaste la planète, alors que les émissions de CO2 sont au plus bas depuis plus de 20 ans.
Un lecteur du Washington Post a même écrit: “Vivre en dedans de nos moyens globaux va demander une baisse radicale de la population terrestre à commencer maintenant.”, dans une op-ed que l’organisation a jugé bon de publier. Ces articles ne l’admettent jamais mais le but n’est pas du tout d’éduquer les gens au sujet de l’environnement et de la croissance démographique. Le véritable but est de nous programmer pour accepter le contrôle des populations. Quel est le véritable agenda derrière cela ?
L’eugénisme.
Taux de natalité en chute libre
Les médias lancent toujours un tas de concepts larges et vagues en l’air sur la façon dont le monde est surpeuplé au détriment total de l’environnement, comme si cela est juste un fait accepté et non controversé.
Sommes-nous dans la panade ? La planète est-elle si dérangée par l’éclatement de la population humaine, qu’elle soit sur le point de sortir de son orbite, de l’espace ?
Bien sûr que non, loin s’en faut. En fait, quand on considère les données actuelles, la seule chose qui chute gravement sur terre, c’est le taux de natalité de l’humanité.
Beaucoup de pays ont une croissance démographique nulle voire même négative, avec des taux de natalité en dessous du taux de remplacement national, c’est à dire le degré de remplacement de la population.
A l’heure actuelle, des pays européens comme l’Allemagne, la Hollande, la Belgique, l’Espagne, l’Italie et la Suède ont des taux de fertilité au dessous de celui du taux de remplacement de la population. Le Danemark a vu 4 400 enfants de moins nés en 2011 par rapport à 2010, avec des projections sur 2012 faisant que la nation aurait le plus bas taux de natalité depuis 1988.
Le taux de natalité du Canada a chuté à 10,5 / 1000 en 2002, au plus bas depuis 1921. De nouvelles données pour 2011 ont montré qu’il a chuté encore plus à 10,28. Le taux de natalité australien est en déclin ces deux dernières décennies et cela devient tellement problématique que le gouvernement a introduit des “changements extensifs” dans les impôts et les bénéfices sociaux pour encourager les familles et favoriser la croissance de la population.
La Chine, une nation typiquement (mais à tord) dépeinte comme ayant une croissance démographique similaire à celle des lapins a vu son taux de natalité décliner de 16,12 / 1000 en 2000 à 12,31 en 2012. La soi-disant explosion de la population au Mexique s’est avérée être un mythe comme celle de la Chine; en 2010, le magazine the Economist a déclaré que le taux de natalité y est en “chute libre”.
Celui de la Russie en 2012 était encore plus bas à 10,94 / 1000, plus bas que son taux de mortalité de 16,03 / 1000. La Russie a le second taux de mortalité le plus élevé par nation au monde.
En 2009, l’OMS a déclaré que la Corée du Sud avait le taux de natalité le plus bas au monde et ce pour la seconde année consécutive, celui de la Corée du Nord était aussi en déclin de 20,43 / 1000 en 2000 à 14,51 / 1000 en 2012. Le gouvernement du Japon estime maintenant que si le taux de natalité de la nation continue à décliner à la même vitesse que ce fut le cas ces dernières décennies, alors la population déclinera de 30% d’ici à 2060.
Les taux de natalité du Maroc, de la Syrie et de l’Arabie Saoudite ont décliné de près de 60% en général. Le taux de natalité de Singapour est tombé si bas en 2012 (1,2 / 1000), que le cabinet du premier ministre de la nation a publié un article pour combattre ce “problème très sérieux” et appelé: “Notre population, notre futur”. ...
Source texte : http://terredislam.canalblog.com/archives/2012/11/23/25649936.html
Source vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=ov5A-w58W4M
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