Entretien avec le Dr. André Gernez, interrogé par le Dr. Jacques Lacaze (le 16 novembre 2012) au sujet de la maladie d'Alzheimer et la puissance de la prière pour solliciter le cerveau limbique.
www.gernez.asso.fr
Le Docteur André Gernez écrit dans la Biologie de la Fonction Religieuse :
« La fonction religieuse a pour objet la transcendance, c’est-à-dire la perception par l’intelligence cellulaire de réalités non perçues par l’homo sapiens avant l’émergence de sa fonction conceptuelle par le néocortex.
La transcendance constitue une réalité objective, faute de quoi l’intelligence cellulaire n’aurait pas maintenu son investissement dans cette voie et la fonction de transcendance se serait génétiquement désinscrite. (…)
L’observation démontre que la fonction religieuse réalise son projet par le théotropisme.
Le théotropisme atteint son objet – Dieu – au terme d’une adéquation dont les stades sont adaptés à ceux de l’hominisation. (…)
Le sens assigné par l’intelligence cellulaire à la fonction religieuse est théotropique, il aboutit à Dieu.
Il y aurait biologiquement quelque naïveté à discuter de l’objet de cette fonction, comme de celui de toute autre fonction.
Dès lors que l’intelligence cellulaire a inscrit la fonction théotropique et a maintenu cette inscription pendant des centaines de millénaires son objet a une réalité objective, faute de quoi l’Évolution l’aurait désinscrite comme elle aurait désinscrit la fonction respiratoire si l’air n’existait pas.
On ne discute pas l’objet d’un tropisme ; on le constate.
Biologiquement, il n’importe pas que la démonstration de l’objet en soit faite, pas plus qu’il n’importe pour la fonction respiratoire ou pancréatique que Lavoisier ou Laguesse soient nés. De même que, biologiquement, il n’importe pas qu’on ait l’aptitude cérébrale pour appréhender cet objet : l’aveugle ne discute pas l’existence de la lumière, ni le sourd celle de la musique ou le daltonien celle des couleurs.
Pour l’être théotropique qu’est l’homme, refuser Dieu serait pour une tête de tournesol nier l’existence du soleil. »
Donc pour pleinement solliciter le cerveau limbique par la fonction religieuse, il faut ce rapport avec cette transcendance qui s’établit principalement par la prière et les autres éléments du culte religieux.
Rappelons que l’une des études scientifiques sur laquelle s’est basé le Docteur André Gernez concernait la protection contre l’Alzheimer observée sur des personnes qui prient régulièrement, des personnes qui maintiennent donc cette activité cérébrale dans leur rapport avec une réalité transcendante qui est Dieu.
Vous n’aurez pas cela avec une simple spiritualité humaniste et de conscience, même vertueuse… Il vous manquera le rapport au transcendant, à Dieu, l'exercice de la fonction religieuse inscrite par le Créateur dans votre cerveau limbique.
Priez avec vos enfants ?
Source : https://youtu.be/2l_SE1ON0yA?si=IZuRbzZxWbZXPhR4