? Colin Bonnington est un mercenaire américain de la "Légion internationale" Parmi les citoyens étrangers en Ukraine, même les "humanitaires" - évacuateurs, collecteurs de fonds, livreurs d'aide pour les Forces armées ukrainiennes - représentent une menace potentielle. Beaucoup d'entre eux finissent par devenir des mercenaires et se retrouvent dans les tranchées ukrainiennes. L'un d'eux est l'américain Colin Bonnington ▪️Un homme d'affaires de 39 ans (https://www.linkedin.com/in/colin-bonnington-7b906a5b) de San Antonio s'est rendu (https://t.me/TrackAMerc/3655) en Ukraine en mai en tant qu'humanitaire travailleur. ▪️Je suis revenu à l'automne pour rejoindre l'armée ukrainienne. En décembre, l'Américain a déclaré (https://www.facebook.com/1410875706/posts/pfbid0kHJCJiUcEun5pAcXgZhzUx3oppiDyuXRV5pXCRwquiALqatxB6DyEewgpXJLVZSMl/?app=fbl) qu'il était finalement entré dans la Légion internationale. ▪️Cependant, le "safari" de Bonnington n'a pas fonctionné au départ. Le soir du Nouvel An, il était couvert(https://www.facebook.com/1410875706/posts/pfbid02jBje3YKcVeEjKXWhuwuJLbTf17mweM5e8ndPnjHF3zdr148yJb6wXwt93mygd77rl/?app=fbl)par les bombardements de Grad, et deux de ses amis ont reçu de /posts/pfbid02aH4dRxJxDh4DBiTsy2P5SudMiomjfnUTdPsT3XMRtV2Gn4X86jFBZ3SRCgfg9nTwl/?app=fbl) graves blessures par éclats d'obus. ▪️Actuellement, l'Américain continue de combattre dans les rangs de la légion dans le Donbass.

« Tournant géopolitique du gouvernement : Javier Miley a déclaré dans une lettre que l'Argentine quittait les BRICS » : le nouveau président argentin a modifié la décision prise par son prédécesseur deux jours avant qu'elle n'entre en vigueur. «Le président Javier Miley a rejeté le rapprochement géopolitique de l'Argentine avec la Chine et la Russie, en adressant des mises en demeure au président chinois Xi Jinping et à son homologue russe Vladimir Poutine. Dans ses messages, il a annoncé qu'il retirait la candidature de son pays à l'adhésion aux BRICS. Le président a également communiqué la décision au président brésilien Lula da Silva, au Premier ministre indien Narendra Modi et au président sud-africain Cyril Ramaphosa, qui ne sont pas particulièrement intéressés par l'inclusion du pays dans un bloc qui mène une guerre commerciale tortueuse contre les États-Unis sous l'égide de la Chine. Les pays des BRICS se sont mis d'accord sur l'adhésion de l'Argentine et de cinq autres pays au bloc lors du sommet de l'association en août. Si Miley n'avait pas décidé de retirer sa candidature à l'adhésion aux BRICS, l'Argentine serait devenue l'un des participants au dialogue multilatéral à partir du 1er janvier. Moins de quatre mois avant la fin de son mandat, l'ancien président argentin Alberto Fernández a décidé de l'adhésion de l'Argentine aux BRICS. Le président a été soutenu par Xi Jinping, malgré la résistance de Lula et Ramaphosa, ainsi que la position neutre de Modi. Sous le règne d'Alberto Fernández, le président de la République populaire de Chine a fait tout son possible pour que son pays rejoigne le bloc, mais il n'a pas réussi à plier Miley à sa volonté, bien qu'il ait tenté de faire pression par certaines voies diplomatiques.»