Après une dispute violente, Jasmin, une touriste allemande en vacances aux États-Unis, est abandonnée par son mari en plein milieu du désert mojave. Elle trouve refuge au Bagdad Café, un motel délabré. Dès son arrivée, elle est mal accueillie par la patronne, Brenda, mais au fur et à mesure, la glace se brise entre les deux femmes. Jasmin va de plus faire la connaissance de Sal Junior, un peintre romantique qui la fascine.
Alex Harris, un brillant professeur en cybernétique, a mis au point l'ordinateur le plus perfectionné du monde. Doté d'un cerveau artificiel qui a nécessité des années de travail, Proteus est mis à la disposition des intelligences humaines qui l'ont créé. Il parle comme un humain et ses capacités de logique et de réflexion se développent à grande vitesse. Ainsi, très vite, l'ordinateur manifeste le désir d'étudier l'homme.
COMBATTRE L’ENNUI
Avant de connaître un franc sursaut de reconnaissance dans les années 90, l’un des pionniers du cinéma d’auteur américain s’était frotté à New York, son lieu d’études, d’abord, mais surtout sa source d’inspirations spirituelles la plus fructueuse. Jim Jarmusch, quelques dix films plus tard, n’aura rarement été plus lui-même que derrière la caméra pour Stranger Than Paradise. Un deuxième film (après Permanent Vacation), qui n’est certainement pas son plus réussi mais l’un de ses plus sincères, par son parti pris de départ totalement minimaliste.
Le hongrois Béla Molnar (surnommé Willie), qui vit dans la banlieue new-yorkaise depuis près d’une décennie, se voit contraint d’héberger sa cousine Eva dans son petit appartement peu décoré. Elle doit rejoindre sa tante à Cleveland et fait escale chez lui, qu’il le veuille ou non. S’installe une relation contrastée – comme les teintes noires et blanches du film – qui témoigne d’un attachement (familial mais surtout amical, voire plus) entre les deux personnages.
Sorti dans les salles en 1984 et désormais majestueusement remasterisé, ce film court (à peine 1h30) pourtant coupé en trois parties distinctes (fonds noir, écrans titres), décrit le rêve américain avec ambiguïté. Il y a d’abord l’ennui de la ville, la grandeur de New York qui déteint (et restreint) les émotions de chacun, qui cristallise cette envie de s’échapper du vide urbain. Plus tard, Willie et son ami Eddie partiront rejoindre Eva à Cleveland. Ensemble, décideront d’une petite virée en Floride. Direction l’Océan, l’horizon à perte de vue, la possibilité infinie de ce « quelque chose », que Jarmusch aime tant fantasmer (plus de vingt ans plus tard, Paterson en sera un très beau nouvel exemple). Un exercice de paysage mental, en toute subtilité, qui dévoilera l’immensité d’un auteur.
Cette expérience montre que la vitesse d'un objet en chute libre est indépendante de la masse de celui-ci. En effet, lorsque l'on fait le vide dans le tube, la plume et le plomb tombent à la même vitesse. Regarder le cas dans l'air qui est significativement différent
L’essayiste et ex-maître de conférences à Paris VIII, Guy Millière, qui vit aux Etats-Unis depuis plusieurs années, évoque son dernier ouvrage “Après Trump ?”. Lors de cet entretien, il revient sur les quatre ans de mandat de Donald Trump et livre son analyse sur le nouveau président, Joe Biden.
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Extrait du film - Création du Monde selon La Bible
Synopsis :
Le film raconte les 22 premiers chapitres de la Genèse et se divise en trois grandes sections : Adam et Ève, l'Arche de Noé et l'histoire d'Abraham. Il y a également deux sections plus courtes : la construction de la Tour de Babel, située entre celles de Noé et d'Abraham, et celle de la destruction de Sodome et de Gomorrhe, intégrée dans la section d'Abraham. L'idée générale du film sont les alliances passées entre la divinité et l'humanité (Adam et Ève, Noé, Abraham) et les moments où ces alliances furent rompues (Babel, Sodome et Gomorrhe).
La section d'Adam et Ève commence par la Création. L'histoire d'Adam et Ève est évidemment centrée sur l'épisode du serpent dans le Jardin d'Éden. Elle se termine par le meurtre d'Abel par son frère Caïn, condamné à errer sur la Terre pour le restant de sa vie.
La section sur Noé est racontée de façon quelque peu humoristique. Le patriarche y est décrit comme un personnage simple et sympathique vivant une belle relation avec les animaux dans l'arche pendant le déluge. Sa famille se pose des questions sur ses agissements, mais ne conteste jamais son autorité et lui fait confiance.
L'histoire d'Abraham, par contre, est dépeinte de façon beaucoup plus sombre. L'homme est décrit comme le constructeur d'une nation, le leader de son peuple, un pionnier et un guerrier qui craint Dieu plus que tout. Dieu l'a fait venir en pays de Canaan et lui a promis cette terre pour sa descendance. L'action d'Abraham est centrée sur l'attente d'un enfant que Dieu lui a également promis et que Sarah doit enfanter, mais qui se fait attendre. La naissance d'Isaac est donc un joyeux événement. Malheureusement, Abraham est littéralement assommé lorsque Dieu lui demande de le lui sacrifier quelques années plus tard. Il décide tout de même de lui obéir, mais le Seigneur arrête son bras au dernier moment. Cette dernière scène est probablement le moment le plus intense du film.
تدور أحداث الفلم في عصر الدولة الأموية ، حول راعية الأغنام (سَلَّامة) ذات الصوت الساحر التي تربطها علاقة حب مع (عبدالرحمن)، لكن يقف أمام حبها طمع (ابن سهيل) فيها ، تهرب منه خوفا على نفسها وحبها ، ويبدأ (عبدالرحمن) رحلة بحثه عنها .