Sally Horner est une célèbre victime de kidnapping. En 1948, alors qu'elle a 10 ans, elle est enlevée par Frank La Salle, un agresseur d'enfants en série. Son histoire a inspiré le roman américain "Lolita" de Vladimir Nabokov.
Ronald Bernard, ancien consultant, raconte son expérience dans le monde de la finance.
Son travail, ce qu'il a vu, et les raisons qui l'ont poussé à mettre un terme à sa carrière.
Documentaire ARTE du 14 juin 2022
En quatre épisodes, retour en archives sur l’effroyable "affaire Dutroux", qui suscita au milieu des années 1990 l’émoi puis la colère du peuple belge face aux dysfonctionnements de la justice.
Le 24 juin 1995, Mélissa et Julie, 8 ans, disparaissent dans la région de Liège, en Belgique. Deux mois plus tard, An et Eefje, 17 et 19 ans, se volatilisent à leur tour non loin de Bruges. En mai 1996, Sabine, 12 ans, est portée disparue dans la région de Tournai, près de la frontière française. Quelques semaines plus tard, Laetitia, 14 ans, est vue pour la dernière fois près de la piscine de Bertrix, dans le sud du pays. Entre ces jeunes filles, il n’existe aucun lien apparent – âge, origine ou habitudes –, si ce n’est des parents effondrés, aux yeux de qui les efforts déployés par les enquêteurs pour retrouver leurs enfants semblent dérisoires. Peu après la disparition de Laetitia, des indices mettent enfin la police sur la piste de Marc Dutroux, 39 ans, déjà condamné pour séquestrations, enlèvements et viols sur mineurs. Grâce aux indications qu’il livre aux enquêteurs, Sabine et Laetitia sont retrouvées vivantes.
Approche intime
Il y a vingt-cinq ans, la Belgique faisait face à la plus importante affaire de disparition d’enfants de son histoire. À rebours des émissions de "true crime" sensationnalistes, les réalisateurs d’"Innommable" proposent une lecture à la fois intime et sociétale de ce drame qui suscita une vive colère collective. Émaillée de nombreuses archives exposant le combat quotidien des parents des victimes pour être entendus, la série montre également le retentissement national de l'affaire – les citoyens assistant, indignés, aux atermoiements de leur justice, de leur police et de leurs médias. Retraçant avec minutie la chronologie des événements, "Innommable" fait témoigner des journalistes, des enquêteurs ainsi qu’une jurée, tous encore très marqués par cet épouvantable dossier.
Série documentaire de Joeri Vlekken (Belgique/Suisse/France, 2021, 55mn)
Isabelle (58 ans) a subi la violence rituelle entre l'âge de 0 et 6 ans à Zandvoort, La Haye, Heidelberg et dans d'autres pays comme la Belgique, la France et l'Angleterre.
Il a été prouvé médicalement que quinze de ses membres étaient cassés suite à la violence rituelle.
https://www.50voices.org/en/start-en/
Éducation sexuelle à l’école : à qui profite le crime ?
Avec Marc Gotti, juriste, membre du collectif Les 300 et Christelle Comet, porte-parole des Mamans Louves.
Je ne pensais pas qu’une telle vidéo serait nécessaire … je ne pensais pas qu’après la sortie d’un film comme Sound of Freedom, il y aurait des gens avides d’audience et impatients de surfer sur le buzz , qui sauteraient sur l’occasion pour lancer une controverse … une controverse honteuse autour d’un film qui s’attaque au trafic d’enfants !!
Entre les militants démocrates qui sous entendent que si tu regardes ce film, c’est que tu es un républicain, conservateur, adepte de Qan0n : soit un conspirationniste de la pire espèce, les sois -disant lanceur d’alerte qui arrivent avec leur gros sabot criant a l’opposition contrôlé et prenant des raccourcis minables pour appuyer leur dire, ou encore ceux qui essaient de connecter Tim Ballard a des gens peu recommandable tel que Jeffrey Epstein, quand il ne s’agit pas du boycott pur et simple des rares cinémas qui ont accepter de diffuser le film "Sound of Freedom" est abusivement et injustement rudoyé/attaqué depuis sa sortie !
Ici il s’agit de remettre l’église au milieu du village et de rectifier les mensonges éhontés que les vendus colportent, sans même réaliser qu’il s’attaquent au plus noble des combats !
Celui de la lutte pour la protection des enfants du monde entier…
A moins, peut-être, que cela les arrangent !?
Le documentaire, signé Lisa Bryant et Maiken Baird, éclaire la sidérante trajectoire de la riche héritière et les enjeux de son procès pour trafic sexuel de mineurs.
Une enquête sobre et pertinente qui donne largement la parole aux victimes.
Il y a deux ans, Lisa Bryant et Joe Berlinger éclairaient, dans la série documentaire Jeffrey Epstein : Filthy Rich (d’après l’ouvrage de James Patterson, et toujours disponible sur Netflix), les ressorts sordides du trafic sexuel orchestré par et pour le milliardaire américain pendant plus de deux décennies.
C’est assez logiquement que la réalisatrice, épaulée cette fois par Maiken Baird, consacre aujourd’hui un film à son ex-compagne et complice, Ghislaine Maxwell, condamnée en juin 2022 à vingt ans de réclusion criminelle pour trafic sexuel de mineures.
Une victoire pour des centaines de victimes qui, après le suicide d’Epstein en août 2019, désespéraient de voir cette affaire d’une ampleur hors norme portée un jour devant la justice.
Leurs témoignages courageux et le combat militant de leurs avocats constituent, comme c’était déjà le cas dans la précédente série documentaire, l’axe central de Ghislaine Maxwell : Filthy Rich.