Cette chanson est dédicacée à mes filles. Elle est aussi dédicacée à tous les pères victimes d'éloignement géographique délibéré, qui terminent seuls, loin de leurs enfants, loin de leur paternité compromise, par les agissements d'une femme qu'ils ont pourtant chéri, aimé, jusqu'à ce qu'elle se révèle n'être qu'une cruelle créature prête à tout pour nuire au père de ses enfants même lorsque cela endommagerait considérablement le lien parental. Il ne faut pas se mentir, nous parlons souvent des violences conjugales faites aux femmes, mais très peu, voire pas du tout, des violences conjugales et post-conjugales faites aux hommes. La violence physique d'un homme est redoutable, mais la société invisibilise la violence psychologique qu'une femme peut exercer envers son conjoint, ex-conjoint et enfant, tout aussi redoutable voire plus insidieuse puisqu'elle n'est pas perçue et que les services sociaux ne sont pas formés à la détecter. À défaut de se demander si elle n'est pas volontairement dissimulée pour permettre à une catégorie sociale composée d'acteurs féminins, d'exercer une discrimination sexiste bien caractérisée au désavantage des Pères et à l'avantage quasi-exclusif des Mères. Un Père condamné au J.A.F est l'équivalent d'un Afro-Américain qui voudrait se faire innocenter dans une coure composée des membres du KuKuxKlan. Ce sujet sera de toute évidence, abordé dans une autre chanson en cours d'écriture. Il est tant qu'une certaine hégémonie sexiste, où sembleraient collaborer tacitement un ensemble d'acteurs défendant exclusivement le point de vu de la femme en ce qui concerne l'exercice de la parentalité; soit démasquée, dénoncée et démantelée. A ce jour, les associations de défense des Pères privés systématiquement de ce droit en situation de séparation, et d'éloignement géographique (pour ne pas parler d'enlèvement !), dénombrent plus de 1000 suicides par an chez ces pères désespérés condamnés à n'être que de vulgaires pourvoyeurs de fonds réduits en esclavage administratif, bons uniquement qu'à payer une pension alimentaire tout en étant souvent privés de ce lien si précieux de qualité, avec leurs propres enfants. Un véritable Hold-up! Que dire également des conséquences psychologiques subis chez ces enfants privés brutalement de leur père biologique qui, du jour au lendemain, est présenté comme un criminel par de fausses déclaration de la famille de la prétendue victime, souvent apte à subjuguer son entourage pour obtenir ce dont elle a besoin. Il est temps que cela cesse. Mais les Pères doivent également apprendre à se réunir et se soutenir mutuellement face à cette injustice systémique, car les Mères quant à elles, disposent d'un Arsenal complet à leur service et font preuve d'une solidarité féminine sans précédent même lorsque ce n'est pas légitime. Que l'année 2021 soit l'année du changement dans l'action.

Cette chanson est dédicacée à mes filles. Elle est aussi dédicacée à tous les pères victimes d'éloignement géographique délibéré, qui terminent seuls, loin de leurs enfants, loin de leur paternité compromise, par les agissements d'une femme qu'ils ont pourtant chéri, aimé, jusqu'à ce qu'elle se révèle n'être qu'une cruelle créature prête à tout pour nuire au père de ses enfants même lorsque cela endommagerait considérablement le lien parental. Il ne faut pas se mentir, nous parlons souvent des violences conjugales faites aux femmes, mais très peu, voire pas du tout, des violences conjugales et post-conjugales faites aux hommes. La violence physique d'un homme est redoutable, mais la société invisibilise la violence psychologique qu'une femme peut exercer envers son conjoint, ex-conjoint et enfant, tout aussi redoutable voire plus insidieuse puisqu'elle n'est pas perçue et que les services sociaux ne sont pas formés à la détecter. À défaut de se demander si elle n'est pas volontairement dissimulée pour permettre à une catégorie sociale composée d'acteurs féminins, d'exercer une discrimination sexiste bien caractérisée au désavantage des Pères et à l'avantage quasi-exclusif des Mères. Un Père condamné au J.A.F est l'équivalent d'un Afro-Américain qui voudrait se faire innocenter dans une coure composée des membres du KuKuxKlan. Ce sujet sera de toute évidence, abordé dans une autre chanson en cours d'écriture. Il est tant qu'une certaine hégémonie sexiste, où sembleraient collaborer tacitement un ensemble d'acteurs défendant exclusivement le point de vu de la femme en ce qui concerne l'exercice de la parentalité; soit démasquée, dénoncée et démantelée. A ce jour, les associations de défense des Pères privés systématiquement de ce droit en situation de séparation, et d'éloignement géographique (pour ne pas parler d'enlèvement !), dénombrent plus de 1000 suicides par an chez ces pères désespérés condamnés à n'être que de vulgaires pourvoyeurs de fonds réduits en esclavage administratif, bons uniquement qu'à payer une pension alimentaire tout en étant souvent privés de ce lien si précieux de qualité, avec leurs propres enfants. Un véritable Hold-up! Que dire également des conséquences psychologiques subis chez ces enfants privés brutalement de leur père biologique qui, du jour au lendemain, est présenté comme un criminel par de fausses déclaration de la famille de la prétendue victime, souvent apte à subjuguer son entourage pour obtenir ce dont elle a besoin. Il est temps que cela cesse. Mais les Pères doivent également apprendre à se réunir et se soutenir mutuellement face à cette injustice systémique, car les Mères quant à elles, disposent d'un Arsenal complet à leur service et font preuve d'une solidarité féminine sans précédent même lorsque ce n'est pas légitime. Que l'année 2021 soit l'année du changement dans l'action.

Sorti en 1998 sur l’album Suprême NTM et produit par Sulee B Wax, « Laisse pas trainer ton fils » est un morceau devenu culte dans le hiphop français. Avec des paroles affutées comme un lame, le flow de Kool Shen et la puissance de Joey Starr, ce titre est devenu un de leur track signature. Au point que toutes les générations le connaissent, et surtout qu’il parle à toutes les générations. Mais d’où vient cette boucle si particulière ? Musicien et compositeur originaire de Chicago, Michael Masser est l’auteur de la bande originale du film « The Greatest », qui raconte l’histoire de Mohamed Ali, de sa victoire aux Jeux olympiques de Rome à sa reconquête de son titre de champion face à George Foreman, en passant par sa conversion à l’Islam et à son refus d’incorporation dans l’armée. Masser est également à l’origine de nombreux morceaux qu’il a co-écrit avec des stars et qui sont devenus des succès : « Greatest Love of All » avec Whitney Houston ainsi qu’un bon nombre de titres avec Diana Ross, Nathalie Cole, George Benson et Teddy Pendergrass. Cette Performance N°2 s'inscrira dans l'histoire du Rap Français avec autant de retentissement que la première version, "Laisse pas traîner ta fille" vient mettre un coup de pieds dans la fourmilière en frôlant la ligne rouge des courants Néo-féministes. Et son succès ne dépendra que de vous, nous sommes à la recherche de collaborateurs pour nous aider à réaliser le Clip de ce morceau musical. N'hésitez pas à me contacter à theblackbizon.yaste@gmail.com

Présentation du Projet. Cette chanson est une reprise de "2", du morceau original de l'artiste H.E.R. "Le personnage principal se balade amoureusement en Ville avec la femme de sa Vie, tandis qu'il chante, tous deux sont confrontés à des péripéties issues des pensées projetées des passants, qui les regardent en émettant un ensemble d'émotions contradictoires prenant ensuite des formes physiques aux conséquences parfois dommageables. Cette performance artistique sera accompagnée d'effets spéciaux rappelant des films comme "Sucker punch", en passant par des grands classiques de Tarantino comme "Kill Bill". " Le projet n'aura pas lieu sans votre participation, nous vous invitons à prendre connaissance des modalités de la proposition ci-dessous. Pour soutenir le projet; https://theblackbizon.bandcamp.com/album/m-lanine