Jean Matte, admirateur de Louis-Ferdinand Céline, lit des extraits de son œuvre, d'une voix de conteur, comme en confidence assis autour du feu. L'accent est mis non seulement sur la musicalité de sa sensibilité, mais également sur ses notes humoristiques hors du commun, loin de son personnage publique d'homme amer et grincheux.
Jean Matte, admirateur de Louis-Ferdinand Céline, lit des extraits de son œuvre, d'une voix de conteur, comme en confidence assis autour du feu. L'accent est mis non seulement sur la musicalité de sa sensibilité, mais également sur ses notes humoristiques hors du commun, loin de son personnage publique d'homme amer et grincheux.
Jean Matte, admirateur de Louis-Ferdinand Céline, lit des extraits de son œuvre, d'une voix de conteur, comme en confidence assis autour du feu. L'accent est mis non seulement sur la musicalité de sa sensibilité, mais également sur ses notes humoristiques hors du commun, loin de son personnage publique d'homme amer et grincheux.
Accrochés à des pourcentages de PIB désincarnés ou artificiels, "experts" et médias mentent à l'Afrique quand ils lui font croire qu'elle a démarré et qu'une classe moyenne y est née. En effet, non seulement le continent ne se développe pas, mais, au sud du Sahara, il est même revenu à une économie de comptoir.
Au XVIIIe siècle ces derniers étaient esclavagistes ; aujourd'hui, ils sont pétroliers, gaziers ou miniers. Comme ceux d'hier, ceux d'aujourd'hui n'enrichissent qu'une infime minorité d'acteurs-profiteurs cependant que la masse de la population subit en tentant de survivre.
Allons-nous donc continuer de mentir à l'Afrique quand, confrontées à la misère et pour échapper au désastre dont elles sont les premières victimes, ses jeunes générations migrent en masse, du village à la ville et de la ville à l'étranger, risquant leur vie dans de dangereuses équipées vers de supposés "paradis" ?
Afin d'attaquer les vraies causes du mal, les acteurs africains et européens doivent commencer par cesser de s'abriter derrière ces postures dogmatiques et ces mensonges qui, depuis des décennies, engluent le continent dans les échecs.
Lauzon au Canada, mars 1995
Jean Matte, admirateur de Louis-Ferdinand Céline, lit des extraits de son œuvre, d'une voix de conteur, comme en confidence assis autour du feu. L'accent est mis non seulement sur la musicalité de sa sensibilité, mais également sur ses notes humoristiques hors du commun, loin de son personnage publique d'homme amer et grincheux.
Accrochés à des pourcentages de PIB désincarnés ou artificiels, "experts" et médias mentent à l'Afrique quand ils lui font croire qu'elle a démarré et qu'une classe moyenne y est née. En effet, non seulement le continent ne se développe pas, mais, au sud du Sahara, il est même revenu à une économie de comptoir.
Au XVIIIe siècle ces derniers étaient esclavagistes ; aujourd'hui, ils sont pétroliers, gaziers ou miniers. Comme ceux d'hier, ceux d'aujourd'hui n'enrichissent qu'une infime minorité d'acteurs-profiteurs cependant que la masse de la population subit en tentant de survivre.
Allons-nous donc continuer de mentir à l'Afrique quand, confrontées à la misère et pour échapper au désastre dont elles sont les premières victimes, ses jeunes générations migrent en masse, du village à la ville et de la ville à l'étranger, risquant leur vie dans de dangereuses équipées vers de supposés paradis ?
Afin d'attaquer les vraies causes du mal, les acteurs africains et européens doivent commencer par cesser de s'abriter derrière ces postures dogmatiques et ces mensonges qui, depuis des décennies, engluent le continent dans les échecs.
Lauzon au Canada, mars 1995
Émission de Méridien Zéro n° 190.
Jean-Louis Roumégace et Gérard Vaudan recevaient Emmanuel Ratier à propos de son ouvrage « Le Vrai Visage de Manuel Valls ».
Jean Matte, admirateur de Louis-Ferdinand Céline, lit des extraits de son œuvre, d'une voix de conteur, comme en confidence assis autour du feu. L'accent est mis non seulement sur la musicalité de sa sensibilité, mais également sur ses notes humoristiques hors du commun, loin de son personnage publique d'homme amer et grincheux.