Nous ne pouvons pas retrouver la souveraineté de la France tant que nous serons dans l'union Européenne qui a été fait sans les peuples. Les parlementaires ainsi que les élus ont tous trahis le peuple... Un coup d'État des mondialistes qui siègent à Bruxelles....
Faire exactement le contraire de ce qu’il faut faire est devenu une spécialité française.
Si l’emmerdeur covidiste Emmanuel Macron souhaitait devenir plus impopulaire que jamais, il ne pouvait pas s’y prendre mieux.
Il était donc important de le montrer à tous les africains.
Mais ils avaient déjà compris depuis longtemps !
https://odysee.com/$/invite/@elby1984:0
Le Dossier de Presse contenant le livre "FM & SCHIZO" + Travail Universitaire (mémoire) sur les Abus Rituels et Contrôle Mental basé sur les traumatismes (Christine Jacques), a été distribué à :
- France3 / INA Bretagne
- FranceBleu Armorique
- Ouest-France
- La Maison des Avocats (Barreau de Rennes)
- Club de la Presse de Rennes/Bretagne
- Centre PédoPsychiatrique (Bois Perrin / Guillaume Regnier)
- Hôpital Psychiatrique Guillaume Regnier
- Caserne Départementale de Gendarmerie Maurice Guillaudot
- Direction de l'Education et de l'Enfance (Rennes)
« La sécurité sociale, c’était une belle idée au départ. Mais c’est devenu une mafia et les syndicats s’en mettent plein les poches. » - Raphaël Cohen, directeur juridique CSAPE
Le CSAPE (collectif syndicats et associations professionnels européens) va porter une requête devant la CEDH (Cour Européenne des Droits de l’Homme) suite à une enquête approfondie qui montre que « la sécurité sociale a été détournée, pervertie et corrompue par des intérêts particuliers. »
Patrice Lepiller, président du CSAPE : « Les cotisations sociales sont détournées par des organismes sans existence légale, sous contrôle des syndicats, sans transparence de gestion, selon l’avis même de la Cour des Comptes. Et avec la complicité des gouvernements successifs et d’officines qui dictent au judiciaire la position à avoir face aux plaignants contre l’iniquité du système. »
Raphaël Cohen, directeur juridique du CSAPE, précise : « Les syndicats ont pris le pouvoir dans tous les corps de l’Etat. (…) Ce n’est pas un système de répartition, mais un système pyramidal financier. (…) Ce que l’on appelle la « dette de la sécurité sociale » est en fait de l’argent qui disparaît.»
Pour Patrice Lepiller, « Le pouvoir « politico-syndicalo-médiatico-judiciaire » est indivisible et n’a pas pour objet de défendre la population contre les malversations, mais s’organise pour maintenir la population dans l’asservissement, notamment à travers les cotisations sociales. »
Dans ce cadre, « cette énième réforme des retraites est un leurre. (…) Le recul de l’âge de la retraite est un vol des pensions planifié de la « plèbe ». »
? Mail CSAPE : csape.sg@hotmail.com
? Site internet CSAPE - ANTI CORRUPTION COLLECTIF SYNDICATS ET ASSOCIATIONS PROFESSIONNELS EUROPEENS : https://www.csape.international/
Source : https://www.youtube.com/watch?v=zU3QrRf9wkU&t=84s
Documentaire historique sur la seconde guerre mondiale concernant les volontaires français engagés dans les unités combattantes de l'Axe.
Dans une France traumatisée par la défaite aussi rapide que cinglante de Mai-Juin 1940, suivez ces jeunes adolescents dans des parcours tant variés que hors-normes qui communément aboutiront à l'engagement volontaire dans les forces du Reich.
De la débâcle à la Waffen SS, de l'Armée Secrète à la Division Charlemagne, du maquis à la défense de Berlin, par le témoignage inédit des derniers survivants, par le récit de ceux qui l'ont vécu, vivez la grande histoire au travers de la petite.
Retrouvez l'édition française DVD de ce documentaire accompagné d'un livre de photos et de témoignage inédits (format A4, 128 pages, + de 200 photos et documents) ici :
https://www.librairie-du-collectionneur.fr/produit/106168-les-volontaires-francais-dans-loarmee-allemande
Emmanuelle Darles est docteur d’État en informatique et enseignante-chercheuse à l’université de Poitiers. Vincent Pavan est maître de conférences et chercheur en mathématiques à l’université d’Aix-Marseille.
Les 24 et 25 septembre 2022, ils ont tous les deux participé à un colloque sur la crise sanitaire organisé à Peyrolles-en-Provence (Bouches-du-Rhône), dont l’objet consistait à proposer une analyse critique des décisions politiques prises pendant l’épidémie de covid ainsi qu’à étudier le rôle de la fraude et de la corruption dans le cadre de la crise sanitaire.
Lors de leurs interventions respectives, Emmanuelle Darles et Vincent Pavan ont détaillé les modalités d’exercice de la corruption dans les champs informatique, mathématique et épidémiologique.
Selon les deux universitaires, la science et les mathématiques ont en effet pu être dévoyées pour justifier la mise en place de mesures politiques au nom d’un impératif de santé publique.
« Il y a une crise scientifique, une crise de l'intégrité, une crise des bonnes pratiques. Quand on affiche un résultat, quand on émet une théorie, on la prouve et on la rend reproductible. Ça n'a jamais été fait. On a par exemple imposé le passe sanitaire sur la base d'un article scientifique dont nous n'avions pas le code de calcul. Vincent Pavan a démontré par la suite qu'il s'agissait d'une tromperie », souligne Emmanuelle Darles.
D'après Vincent Pavan, l’usage frauduleux de la science et du langage mathématique par des responsables politiques séduits par l'avènement d'une forme de biocratie est d'ailleurs particulièrement inquiétant.
« La corruption de la science consiste à faire en sorte que le vrai remplace le bien dans la construction et dans la vie des individus. [...] C'est quand vous imposez les lois scientifiques à la place des lois positives, des lois morales, que les sociétés totalitaires arrivent », souligne le mathématicien.
Auteurs d’une étude critique du rapport sur les effets indésirables des vaccins produit par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) au mois de juin, Emmanuelle Darles et Vincent Pavan pointent également du doigt « un défaut de vigilance » de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et de l’Agence européenne des médicaments (EMA) dans le cadre du dispositif de pharmacovigilance passive relatif aux vaccins.
« On sait qu'il y a une sous-déclaration des effets indésirables de l'ordre de 90 à 95%. Si nous voulons une estimation raisonnable des effets indésirables totaux à partir des effets indésirables remontés en pharmacovigilance passive, il faut en général multiplier les chiffres par un facteur 10 ou un facteur 20 », observe Vincent Pavan.
« Nous avons compris que les chiffres distribués par l'EMA et par l’ANSM étaient sous-estimés du facteur de pharmacovigilance passif, c'est-à-dire d'un facteur 10 à 20 », poursuit-il.
Et l'enseignant-chercheur d’ajouter : « Il y a beaucoup d’interrogations sur les alertes de vigilance qui n’ont manifestement pas été produites. [...] Je tiens à rappeler que l’ANSM a été condamnée dans l'affaire du Mediator pour défaut de vigilance. Depuis, rien n'a vraiment changé. [...] Il y a une faillite des agences de santé, qu’il s’agisse des Centres régionaux de pharmacovigilance ou de l’Agence nationale de sécurité du médicament. »
Pour Emmanuelle Darles, il est urgent que les victimes d’effets indésirables soient reconnues, indemnisées et accompagnées : « Il faut que le doute puisse bénéficier aux patients et non aux labos pharmaceutiques. L’enjeu est là, aujourd’hui. »
« Il va falloir construire une société beaucoup plus empathique, où l'intelligence émotionnelle a complètement sa place. On parle beaucoup de l'intelligence, du savoir, mais la base de l'être humain, ce n'est pas tellement ses connaissances, c'est d'abord ce qu'il a en lui. »
Retrouvez l’analyse intégrale d’Emmanuelle Darles et Vincent Pavan dans la vidéo.