Cornuto satanique dans le générique de l'émission "C'est toujours pas sorcier"
Dans le générique de début de l'émission TV "C'est toujours pas socier" actuellement diffusée sur France 4 (remake modernistes de "C'est pas sorcier" de Jamy mais en encore plus con, faut l'faire !) un signe de cornes du diable est placé pour signer sataniquement cette production et en guise de pied de nez.
De nombreux bisounoursiens, se refusant à croire que les réalisateurs de ce genre de séries puissent être suffisamment pervers pour faire faire même à des bébés ce genre de signes et pour y synchroniser le mot "mal" soutiendront opiniâtrement qu'il ne s'agit là que d'une pure coïncidence.
Un signe fort effectué par énormément de femmes modernes tristement réduites à une primitivité abyssale de nymphos fanatiques de toutes sortes de perversions infâmantes et signifiant en body language leur addiction à la sexualité immorale, décadente, BDSM, pour ne pas dire satanique.
Ne parlons même pas du nombre sidérant d'entre elles qui, du fait de leur paroxystique degré d'irresponsabilité via lequel elle reçoivent des éjaculations internes à tout va de la part de pervers phallocrates et incontinents sans désir de grossesse, ont déjà à leur actif plusieurs infanticides par avortement et qui vivent comme des criminelles heureuses sans la moindre once de culpabilité tout en continuant de "militer" pour ce droit de tuer l'enfant in utéro. Elles devrons inéluctablement rendre des comptes pour ces crimes dans l'au-delà.
Toujours précisément à l'image de ce qu'il dit hypocritement avoir en aversion, dénoncer et combattre, le cuistre mythophonniste Salim Laïbi use lui aussi d'une gestuelle et d'une symbolique lucifériennes dans ses vidéos et dans son iconographie mais lorsque c'est chez lui ses suiveurs ferment les yeux et vont même dire que c'est de la symbolique morale tant ils sont de mauvaise foi et dans la positivation systématique et bête de tout ce qui est signé à la haine de Salim Laïbi.
Le genre de signes de plus en plus couramment présents dans l'iconographie de grandes enseignes en guise de signature antichristique plus si subliminal que ça.
Une de ces occurrences du signe 666 ne laissant plus aucun doute sur sa signification satanique dans ce genre de productions.
Réalisé ostensiblement et avec insistance éloquente avec le pouce et l'index pinçant le tuyau d'acheminement de l'oxygène de la patiente, il indique ici dans quels état d'esprit et sentiment diaboliques cet agissement attentatoire à la vie est commis.
Le personnage de "l'infirmière" à l'œuvre dans cette scène s'employant, par la suite, à usurper une mère qu'elle jalouse en lui volant notamment son mari et son enfant en plus d'assassiner froidement sa meilleure amie l'ayant démasquée afin que sa couverture d'employée de maison "modèle" (son cheval de Troie pour infiltrer ladite famille et mieux lui nuire) ne soit pas compromise.
Le faux crooner du R&B francophone Jango Jack (près à suivre toutes les tendances les plus immorales pour tenter de rester dans le game) use lui aussi avec gouaille vicieuse d'un langage corporel satanique notamment dans ce clip du ridicule morceau "Chamagnons" aux côtés de son dépravé confrère d'oligophrénie en roue libre Ol Kainry pour une apologie indécente du lâchage dans la bêtification, la frime et l'autoridiculisation.
Dans la scène la plus forte de l'épisode premier de la série très chargée en subliminalités sataniques "Good Omens" (sur Amazon Prime), le bébé incarnant l'antéchrist effectue le signe des cornes du diable (cornuto) de la main pendant qu'une "bonne" sœur le conduit vers la femme du couple chez qui ils souhaitent le placer en le substituant à leur vrai bébé à la naissance afin de permettre à cet enfant maléfique de s'infiltrer incognito dans le monde sous l'image d'un enfant lambda de famille ordinaire.
Si vous vous demandez comment ils procèdent pour faire faire ce signe à un enfant de si bas âge, la réponse est très simple : ils collent, le temps du tournage son majeur et son annulaire à sa paume, sachant pertinemment qu'à cet âge l'enfant va déplier les autres doigts et donc donner le cornuto escompté, ainsi facile à obtenir de lui.