Le plan de destruction spirituel- Entrevue avec Johan Livernette/ je l'ai assez crié que ces églises de religions ne sont pas de dieu aucune! obéissez a la voix de dieu qu'est la bible! la verité!
? Al-Arabiya : L'émir du Koweït annonce la dissolution définitive de l'Assemblée nationale et la suspension de certaines dispositions de la Constitution pour une durée n'excédant pas 4 ans
L'émir du Koweït a pris le « contrôle total » des affaires politiques du pays ; toutes les institutions démocratiques suspendues
Son Altesse l'Émir Meshal al-Ahmad al-Sabah :
J'ai ordonné la dissolution de l'Assemblée nationale et la suspension de la Constitution pour une durée n'excédant pas quatre ans
Nous prendrons une décision difficile pour sauver le pays
Nous avons été confrontés à des difficultés et à des obstacles insupportables
Certains représentants sont allés jusqu'à s'immiscer dans le cœur des pouvoirs de l'émir
Certains veulent s'immiscer dans le choix du prince héritier, qui est un droit réservé à l'émir
L'atmosphère malsaine que le pays a connue au cours des années précédentes a favorisé la propagation de la corruption
La corruption a atteint la plupart des installations de l'État et même les institutions de sécurité
Personne n'est au-dessus des lois du Royaume et quiconque prend de l'argent public sera puni, quelles que soient sa position ou ses capacités
Nous avons libéré les personnes reconnues coupables de trahison grâce à des pratiques inacceptables
Pendant ce temps, Julian Assange croupit en prison «pour avoir révélé les crimes de guerre des Etats-Unis et de l'OTAN».
«Et que faisons-nous pour le sauver ?»
Oasis de la raison dans le désert de l'hémicycle, l'eurodéputé irlandais - qui doit être un des rares élus à avoir lu feu Udo Ulfkotte - ne retient pas ses coups:
En plus de balancer sur les journalistes achetés par l'Oncle Sam, il déplore «l'inexistence des médias indépendants».
Un constat sans concession sur l'état de la liberté de la presse sur le Vieux continent...
...où la situation devrait rapidement empirer avec l'entrée en vigueur le 25 août du «règlement européen sur les services numériques», appellation technocratique de la censure des réseaux sociaux.
«Nous aurons quelque chose que nous ne cherchons pas: des troupes américaines combattant des troupes russes», avait mis en garde Joe Biden juste avant le vote du Congrès.
«Si vous pensez que le coût du soutien à l’Ukraine est élevé aujourd'hui, imaginez à quel point il sera plus élevé - pas seulement en terme de budget - mais en sang américain», avait renchéri John Kirby.
La menace aux sénateurs était claire: votez les 110 milliards d'aide militaire à l'Ukraine, sinon Vladimir Poutine s'attaquera à l'OTAN et ce sera la 3ème Guerre Mondiale.
«Ils ont finalement perdu le contact avec la réalité», constate effaré Moscou, soulignant que le bénéficiaire direct de l’effusion de sang en Ukraine est l'«insatiable complexe militaro-industriel» américain.
Mais la recette ne prend plus sur un camp républicain où l'influence de Trump se fait de plus en plus sentir:
51 sénateurs ont voté contre, laissant la mesure en deçà des 60 voix nécessaires au Sénat (sur 100) pour ouvrir la voie au débat.
Ce qui signifie la fin de la guerre en Ukraine à court ou moyen terme, Washington arrivant au bout de son financement du régime du Kiev d'ici la fin de l'année.