Léodagan et Arthur s'étonnent de voir une fumée blanche s'élever de la forêt. Curieux, ils décident de partir voir d'où elle vient. Il s'avère en fait que ce sont les seigneurs Calogrenant et Lancelot qui se sont perdus et qui attendaient de l'aide. Bien entendu, ni Léodagan, ni Arthur n'ont pris de carte et les voilà perdus pour plusieurs jours jusqu'à ce qu'ils retrouvent enfin le chemin du château. De retour à Kaamelott, ils croisent Guauvin qui se demande pourquoi il n'y a plus de fumée dans la forêt, alors qu'il en avait vu une peu de temps auparavant. Ils l'injurient copieusement pour ne pas avoir prévenu le château alors qu'ils étaient perdus. Le jour suivant, Léodagan et Arthur aperçoivent à nouveau la fumée blanche : ils décident de ne pas s'en occuper.
Nouvelle visite du roi des Burgondes sans interprète. Arthur n'est pas sûr s'il comprend ce qu'on lui dit, surtout quand il dit «guerre», «fruit au sirop» et «salsifi» sur le même ton... Le Burgonde le convie à un jeu.
Sallustius confie Arthurus à Aconia Minor afin qu'il ait de l'éducation, car il devient de plus en plus évident qu'Arturus est la solution du « problème breton ». De leurs côtés, Merlin est en visite à Rome, Léodagan est invité à s’y rendre par Glaucia, et Arturus demande à Merlin de rentrer en Bretagne pour signifier à quiconque qu’il peut se faire connaître par un fait d’armes ou une quête de son choix afin de pouvoir gouverner à ses côtés.
Arthur trouve que le personnel de Kaamelott se fait rare. Dans le même temps, il s'adresse à Venec, le marchand d’esclaves, pour libérer des galériens. Mais il découvre que Venec fait travailler le personnel de Kaamelott comme esclave dans d'autres établissements. Arthur explique alors que ces esclaves ont été affranchis.
Séli surveille les stocks de nourriture aux cuisines et interdit successivement au Père Blaise de venir se faire un petit goûter de minuit. Puis Arthur... Puis Léodagan... Mais pas Karadoc ! Pourquoi ?
Arthur, Lancelot et Léodagan, après avoir manqué de l'occire, proposent à Caius Camillus de déserter et d’accepter un titre de seigneur breton. Celui-ci est outré par cette proposition qu'il considère comme une insulte envers sa fidélité à César. Toutefois, conscient que la situation de l'empire romain va en se dégradant, il ne ferme finalement pas la porte et demande à réfléchir quelque temps encore.
Une bande de brigands a saccagé une partie de la cité sans rencontrer de résistance de la part des gardes, qui étaient sous le commandement de Bohort. Il s’avère en réalité que Perceval et Karadoc essayaient d’apprendre un jeu du Pays de Galles aux gardes, ce qui a conduit à leur désertion. Pour ne pas dénoncer, Bohort assume ses fautes, à la grande surprise d’Arthur et du Père Blaise qui, au bout d'un moment, le soupçonnent de couvrir les vrais fautifs. Mais sous la pression du roi et du Père Blaise, Bohort finit par lâcher le morceau, et s'en veut alors terriblement.