Instrumentalisation du « CLIVAGE »
Celui qui dirige ou qui détient un pouvoir a la possibilité de manipuler les « mauvaises fréquences » chez l’individu ou au contraire de chercher à élever les hommes afin de permettre leurs réalisations.
De mon point de vue, c’est ce qui distingue un bon d’un mauvais manager. En effet, celui qui détient un poste à responsabilité en pleine légitimité n’a pas à craindre de perdre son pouvoir. Peut-être, est-il détaché de ce « pouvoir » et obtiendra-t-il un meilleur résultat en favorisant le meilleur chez chacun ?
Par contre, le médiocre, celui qui a gravi les échelons par servilité, par des manœuvres malhonnêtes craindra pour son pouvoir. Il aura intérêt à manipuler et à diviser pour asseoir un pouvoir fragilisé par son incompétence. Le « clivage » est l’outil du pervers, du despote près à activer chez un homme ses mauvais instincts. Il devra provoquer des injustices, du favoritisme, afin d’entretenir une division chez ses « sujets » qu’il manoeuvrera à sa convenance.
Au final, le résultat d’un tel calcul se révèlera profitable pour celui qui créer un bon état d’esprit, use de son autorité avec modération et subtilité et ainsi permet au groupe de franchir des étapes positives.
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