Source : https://odysee.com/@Miniver:4/anticonst:5 Chaîne Miniver : https://odysee.com/@Miniver:4 «Cette élection n'est pas terminée, loin de là, nous n'avons fait que commencer le processus d'obtention d'un décompte précis et honnête des votes. Nous nous battons pour les droits de tous les américains qui veulent avoir foi et confiance, non seulement dans cette élection, mais aussi dans les nombreuses élections à venir.» «Comme l'a écrit le juge Gorsuch dans l'affaire DNC (1) contre la législature de l'État du Wisconsin : "Notre serment pour faire respecter la constitution est mis à l'épreuve par des temps difficiles, et non par des temps faciles. Les changements de dernière minute apportés à des règles électorales de longue date risquent également de poser d'autres problèmes, invitant à la confusion et au chaos et érodant la confiance du public dans les résultats électoraux". La Pennsylvanie est un cas d'école à cet égard.Permettez-moi de passer en revue trois points qui se sont produits en Pennsylvanie. Premièrement, à Philadelphie, les observateurs du scrutin qui sont légalement autorisés à être là et à observer le décompte des votes ont été empêchés d'observer le décompte. Nos observateurs de vote ont été mis derrière des barricades dans une salle massive. Ils étaient à plusieurs mètres du processus de comptage et, en fait, lorsque vous regardez toutes les tables, c'était en fait à plusieurs centaines de pieds des tables situées tout au fond.Ils étaient complètement dans le flou, complètement incapables de superviser le décompte des votes comme ils en avaient le droit. Un observateur sur place l'a décrit ainsi : "Imaginez que vous êtes sur un terrain de football. Vous êtes sur la ligne des dix mètres et vous devez passer un appel dans la zone de fin de l'autre côté du terrain".Cela est inacceptable. Un tribunal intermédiaire s'est prononcé en faveur de la campagne, en faveur de la transparence en permettant aux observateurs du scrutin d'observer le décompte,mais qu'a fait la Cour suprême démocrate de Pennsylvanie ? Ils ont émis un sursis administratif qui a eu pour effet de repousser nos observateurs et de leur refuser l'accès qu'ils méritent pour assister au décompte.Posez-vous cette question. Que cachent les démocrates de Pennsylvanie ? Pourquoi les observateurs des votes ne peuvent-ils pas simplement observer le décompte ? Deuxièmement, l'article premier, section quatre, de la Constitution des États-Unis stipule clairement ce qui suit :"La date, le lieu et les modalités d'élection des sénateurs et des représentants sont fixés dans chaque État par la législature de celui-ci". C'est vrai, le législateur de l'État est constitutionnellement celui qui prend la décision, mais la Cour suprême du Commonwealth de Pennsylvanie, Kathy Boockvar, et la Cour suprême de Pennsylvanie, à majorité démocrate,avaient continuellement ignoré la Constitution, prenant des décisions qui relevaient clairement du pouvoir législatif de la Pennsylvanie.» Vidéo originale : https://youtu.be/qtZHMTDDDec Référence : (1) https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Comité_national_démocrate

Lien Tipeee pour soutenir le film : https://fr.tipeee.com/hold-up-le-documentaire Pour suivre l'évolution du projet : info et liens https://tprod.fr/project/hold-up/ "La pandémie de la Covid-19 a donné lieu à des échanges contradictoires entre médecins, spécialistes, professeurs, hommes politiques et experts, le tout orchestré et alimenté par le feu nourri des médias. Les scientifiques se sont ainsi retrouvés discrédités avec notamment l’affaire du Lancet. Le Conseil scientifique, censé piloter cette pandémie, est ouvertement accusé d’incompétence et d’arrogance, preuves à l’appui. Et nous dans tout ça ? Que penser ? Que faire avec toutes ces informations ? Qui croire ? Ce sont les questions auxquelles le documentaire HOLD-UP tente de répondre en partant à la rencontre de soignants, chercheurs, experts, juristes offrant une autre lecture sur cette crise sans précédent et dénonçant une batterie de mesures gouvernementales jugées inefficaces pour la plupart. « Ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux.» – Alexis de Tocqueville Depuis l’éclatement de la crise du coronavirus en mars 2020 et face au nombre restreint de lits de réanimation en milieu hospitalier, le gouvernement français proclame l’état d’urgence sanitaire et assoit son autorité à grand renfort de mesures liberticides : confinement, attestations de déplacement obligatoires, couvre-feu, amendes pouvant avoisiner les 3750 euros et peines de prison allant jusqu’à 6 mois d’emprisonnement en cas de non respect des règles. D’un point de vue économique, ces mesures ont pour conséquence la fermeture de 400 000 PME et la précarisation de 4 millions de français, 1 million d’entre eux risquant de rejoindre les rangs des 10 millions de français vivant d’ores et déjà en deçà du seuil de pauvreté et des 900 000 personnes sans domicile fixe. Que dire de ces mesures pour une épidémie dont le taux de mortalité actuel est établi à 0,15% et touchant principalement les plus de 65 ans affectés par la comorbidité ? Saisis par l’urgence de la situation, le réalisateur Pierre Barnérias (TPROD) et le producteur Christophe Cossé (Tomawak) décident de s’atteler à la production du documentaire HOLD-UP, dévoilant les erreurs commises par les plus hautes instances publiques et questionnant les fondements mêmes de nos libertés et l’avenir qui nous est réservé si nous restons impassibles face à ces dérives politiques. « Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l’intituler « Coup D’État ». » – Christophe Cossé