Source : https://odysee.com/@Chloe_F:b Depuis novembre 2021, l’Organisation Mondiale de la Santé, filiale de l’ONU, travaille sur deux textes qui permettraient de rendre contraignantes ses recommandations lors de la prochaine urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC). Ces deux textes ont prévus d’être adoptés lors de la 77e session de l’Assemblée mondiale de la Santé, à l’OMS, entre le 27 mai et le 1er juin 2024. Il s’agit d’un accord inédit sur les pandémies & d’une révision du règlement sanitaire international (RSI). Devant la contestation populaire mondiale qu’a suscité depuis 3 ans le projet de l’OMS avec ces deux nouveaux textes, Tedros et ses sponsors ont revu leur copie et ont rétabli les « droits humains » dans l’accord sur les pandémies (version du 13 mars 2024). Mais il a ajouté les mots « certificat de vaccination » (23 fois) et la notion d' »urgence pandémique » dans le nouveau RSI (version du 17 avril 2024), qui pourrait s’appliquer à chaque fois qu’une « PHEIC » de nature infectieuse serait « susceptible de se propager » dans le monde, serait « susceptible de dépasser les capacités » des pays à répondre et « susceptible de causer des perturbations sociales et/ou économiques et/ou politiques dans ces États parties », et enfin lorsque cela « nécessiterait une action internationale coordonnée ». La définition n’a plus grand chose à voir avec la santé des personnes et permet l’arbitraire et le flou juridique. Qui déciderait si une urgence est « susceptible » d’occasionner des troubles, et sur quelles bases ? Ce n’est pas précisé… Le « changement climatique » et l’approche « One Health » ont été déplacés dans la nouvelle version de l’accord et les Etats membres sont toujours tenus de « combattre la désinformation et la mésinformation », tout en favorisant « les informations « crédibles » et les données « probantes » … Ils sont aussi fortement invités à légiférer sur la préparation des pandémies, avec par exemple la loi sur les épidémies en Suisse qui en cours de révision, ou le décret du 12 mars 2020 en France, qui « réaffirme le rôle de l’OMS en tant qu’autorité directrice et coordinatrice ». Ou encore avec le pass mondial adopté entre l’OMS et l’Union européenne le 5 juin 2023 ! Ces deux textes ont été enjolivés mais leur objectif reste identique : vacciner, surveiller, contrôler, fermer les frontières, mettre en quarantaine les « suspects », tout en veillant à faciliter les voyages internationaux des « agents de santé ». Ce sont leurs mots, à l’article 18 du RSI, nouvelle version. Les médias n’en parlent toujours pas mais Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’OMS, s’inquiète, et à raison, de l’échec de la signature en mai 2024. Aidons-le à en finir avec ces textes qui prévoient une ingérence de l’OMS sur la population mondiale, au prétexte de préservation de notre santé. La population doit impérativement être informée, et les négociations définitivement abandonnées !

Source : https://odysee.com/@cielvoile:4