« Chantez à l’Eternel avec actions de grâces, psalmodiez sur la harpe à notre Dieu. C’est Lui qui couvre les cieux de nuages, qui prépare la pluie pour la terre, qui fait germer l’herbe sur les montagnes ; qui donne la nourriture au bétail, et aux petits du corbeau qui crient… Le plaisir de l’Eternel est en ceux qui Le craignent, en ceux qui s’attendent à sa bonté (Ps. 147 :8-11). Et lorsqu’il ouvrit le troisième sceau, j’entendis le troisième Être animé disant : Viens et vois ! Et je vis : Et voici un cheval noir, et celui qui était assis dessus, portait une balance dans sa main. Et j’entendis comme une voix au milieu des quatre Êtres animés, disant : Une mesure de froment pour un denier, et trois mesures d’orge pour un denier ; et ne nuis pas à l’huile ni au vin (Apoc. 6 :5-6). » En s'appuyant sur les recommandations du GIEC, l'ONU organise et contrôle un marché de certificats d'expérimentations pour limiter le réchauffement climatique. Ces expérimentations, menées par des sociétés privées ou des unités militaires, produisent un effet opposé au but recherché : elles produisent une augmentation locale des températures (en augmentant la vapeur d'eau dans l'air) et diminuent la couche d'ozone qui protège la terre. Le GIEC publie des rapports qui sont politiques et non scientifiques, et qui se fondent sur des modélisations et non des mesures in situ. Les climatologues, qui n'ont pas de conflits d’intérêt, contestent la thèse du réchauffement climatique. Les opérations de modification de la météo polluent l'atmosphère, les eaux et les sols. Les rendements agricoles sont diminués, et les écosystèmes fragilisés. L'eau potable est empoisonnée. 1. Aucune preuve scientifique d'un réchauffement mondial du climat (22 mn). 2. Les dangers des épandages par avions autorisés par l'ONU pour limiter le réchauffement climatique (Rosalind PETERSON à l'ONU en 2007). Le Protocole de Kyoto est un engagement à diminuer les émissions de CO2. Signé en 1997, il est entré en vigueur en 2005. Il déclare que la production humaine de CO2 produit un relèvement de la température à l'échelle mondiale, ce qui provoquerait des crises majeures. 1. Résumé de la première partie (Aucune preuve scientifique d'un réchauffement mondial du climat) Professeur Ian Clark, Université d'Ottawa explique, avec d'autres scientifiques que : La température n'augmente que dans les zones urbaines. Sur vingt ans les mesures des satellites montrent que la hausse des températures est infime. Déclarer que la température globale augmente comme jamais est un mensonge scientifique. Un exemple de fraude scientifique, la courbe en forme de crosse de hockey. Les climatologues savent qu'en période froide, les événements météorologiques extrêmes sont plus violents qu'en période chaude. Le niveau des océans varie peu, de l'ordre de 20 cm par siècle. Le cycle de l'activité solaire semble corrélé avec le refroidissement ou le réchauffement de l'atmosphère. Une plus grande quantité de CO2 dans l'air favorise la croissance des plantes. Le gaz à effet de serre le plus puissant est la vapeur d'eau. Pourtant le GIEC ignore ces faits et ne retient que les études qui confirment l'importance du CO2 dans le réchauffement climatique, en particulier les modélisations mathématiques. 2. Résumé de la deuxième partie (Rosalind PETERSON à l'ONU en 2007) Dans le monde entier sont produites des modifications de la météo (geoengineering) qui diminuent les rendements agricoles ; les produits chimiques répandus par les avions pourraient détruire les insectes pollinisateurs ; les traînées de condensation persistantes (jusqu'à 20 heures) produites par des avions spéciaux produisent un réchauffement de l'air en piégeant l'humidité ; cela provoque la prolifération des moisissures et des bactéries sur les plantes, et limite la photosynthèse qui est à la base de la croissance des plantes ; la production de nuages artificiels se fait sous couvert d'expérimentations militaires ou scientifiques (NASA, etc.) avec l'épandage en altitude de tonnes de divers sels métalliques (aluminium, baryum, strontium...) et du souffre ; L'eau potable est contaminée par ces sels métalliques en Californie et en Arizona ; Il se produit des pluies acides et les arbres se dessèchent car leurs racines sont saturées d'aluminium ; la couche protectrice d'ozone a été réduite fortement par l'épandage d'acide nitrique en haute altitude ; Il importe de réguler la pollution atmosphérique des automobiles et surtout des avions ; Plutôt que de réguler le marché en octroyant des crédits à polluer, il est préférable de limiter la pollution. Etude du ciel dans le Val d’Oise (12 mn) : https://youtu.be/YmpXs6iG9z0 Etude sur les produits vaporisés et les techniques d'épandages (12 mn) : https://odysee.com/@ExcaliburTraduction:4/Geoingineering-First-Ever-High-Altitude-Atmospharic-Testing-ExcaMotous:d?r=3aYJuv71d8knr9gWYSLiGjZU2xbC2zqo Sites internet : www.geoengineeringwatch.org ; www.acseipica.fr ; www.cielvoile.fr

« Ta parole est une lampe à mon pied, et une lumière à mon sentier (Psaume 119:105). Personne n'a jamais vu Dieu (le Père) ; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est Celui qui L'a fait connaître (Jean 1:18) » Depuis le moyen-âge et la scolastique de l'Eglise romano-catholique, le théologien est celui qui tente, par la foi et la raison, de percer le mystère de Dieu. La théologie est devenue une science intellectuelle et académique avec ses implications morales et dogmatiques. Au début du Christianisme, le théologien était celui qui par la lecture des saintes Écritures et la prière entrait dans une intimité avec Dieu par Jésus-Christ, son Fils unique. Il ne s'agissait pas d'une intimité sensible ou mystique, mais d'un approfondissement renouvelé de l'expérience de la foi et de la charité. Cela se manifestait par la simplification et la sanctification de la vie du disciple de Christ. Le Pasteur Éric BABEF, retrouve d'une certaine manière le véritable sens de la théologie qui est une expérience vivante de Dieu. Or Dieu le Père nous demeure inaccessible, et nous ne pouvons Lui plaire qu'en suivant la doctrine de son Fils, unique Médiateur entre les hommes et Lui. Car le Fils est l'image parfaite du Père parmi les hommes ; et le Messie Jésus est la théologie parfaite, qui peut dire : « Je suis le chemin, la vérité et la vie. » 00:00:20 Les cinq catégories de la théologie (science académique) ; 00:12:35 La théologie humaine et la Théologie parfaite divine (Jésus-Christ) ; 00:20:20 Dieu délivre de la souffrance (la guérison du lépreux, Marc 1:40-42) ; 00:29:50 La simplicité de la Théologie parfaite ; 00:34:55 Vivre en disciple de la Parole de Dieu (Hébreux 12:12). Le Pasteur Éric BABEF est natif de l'île de la Réunion et y exerce son ministère dans la partie sud ; il est issu du courant pentecôtiste, mais son ministère est fondé uniquement sur la Parole de Dieu. Il témoigne que les traditions humaines, les systèmes philosophiques ou théologiques, ne font que nous éloigner du Testament du Messie Jésus, qui est la sainte Bible, Ancien et Nouveau Testament.

« J’ai été crucifié avec Christ; ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi; et ce que je vis maintenant dans mon corps, je le vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et qui s’est donné lui-même pour moi. Je ne rejette pas la grâce de Dieu ; en effet, si la justice s’obtient par la loi, alors Christ est mort pour rien (Galates 2:20-21).» Jamel ATTAR est le pasteur principal de l’Église Évangélique Baptiste de Caen. Il sert le Seigneur, avec son épouse Susanne depuis presque 20 ans. Oui, il m’a aimé et s’est livré lui-même pour moi! Ce verset me bouleverse chaque fois que je le lis. L’emploi de la première personne (m’a aimé) dévoile le puissant lien qui nous unit au Seigneur Jésus, chacun personnellement. C’est toute la beauté de l’Évangile, par lequel Dieu crée un peuple et par lequel chaque membre de ce peuple est unique dans le cœur du Seigneur. Et il ne s’agit pas simplement de ce que Dieu a fait pour moi, en Jésus-Christ ; c’est aussi ma vie présente que je vis en communion avec lui, par la foi. Né au Maroc, en 1963, il poursuit des études scientifiques en France après avoir fraîchement obtenu son bac. C’est durant cette période qu’il fait la rencontre de Jésus qu’il reconnaît comme le Seigneur vivant. Dès lors, il s’attache à mieux le connaître pour le servir en poursuivant des études de Théologie à l’Institut Biblique et Pastorale Baptiste. Il se forme ainsi au ministère pastoral. Après ces études, il prépare, à l’université de Caen, un doctorat sur le Monde Méditerranéen Antique, et soutient une thèse sur les poèmes théologiques de Grégoire de Nazianze, Père de l’Église du IVe siècle. Jamel est également professeur de Lettres Classiques en collège et auteur. Il raconte son témoignage de conversion au Christ dans le livre Je croyais en Issa, j’ai rencontré Jésus paru en 2013. En 2017, pour les 500 ans de la réforme protestante, il participe à l’ouvrage collectif Merci la Bible en écrivant un article sur la non-violence dans la Bible. En 2020, il revient sur ses nombreux échanges, avec son frère, à propos du christianisme et de l'islam dans Dialogue avec un frère musulman. Cette année, il nous présente un nouvel ouvrage à destination de tous les croyants, Vaincre nos géants. Dialogue avec un Frère musulman (p. 14) : « Bien des musulmans devenus chrétiens ont failli perdre la vie (ou l’ont perdue) pour avoir osé quitter l’islam. Et c’est leur propre famille qui s’est dressée contre eux… Pour ma part, j’étais donc heureux que cela ne se traduise que par une grosse colère [de mon père, au téléphone]. Cependant, à cause de la peine que je causais à ma famille, une grande tristesse a rempli mon cœur. J’aurais tant voulu faire connaître à mes parents la bonne nouvelle de l’Évangile ! Cette bonne nouvelle venait d’éclairer ma vie d’une chaude lumière. Mon cœur s’éveillait à l’amour du Christ [qui a donné sa vie pour mon salut]. Mon âme, nouvellement envahie par la paix de Dieu, goûtait au plaisir de la communion intime avec Lui. Tel le chercheur d’or qui s’empresse de montrer à tous son étincelante pépite, tout fraîchement découverte, il me tardait de parler de la Perle de grande valeur que je venais de découvrir (voir Matthieu 13.44-46) ! »

Jésus dit ces choses, et leva ses yeux au ciel, et dit : Père, l’heure est venue ; glorifie ton Fils, afin que ton Fils te glorifie, comme tu lui as donné autorité sur toute créature, afin que, quant à tout ce que tu lui as donné, il leur donne la vie éternelle. Et c’est ici la vie éternelle, qu’ils te connaissent seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé (le Messie Jésus). Moi, je t'ai glorifié sur la terre, j’ai achevé l’œuvre que tu m’as donnée à faire ; et maintenant glorifie-moi, toi, Père, auprès de toi-même, de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde fût (Jean 17:1-5). ------------------------------------------- Jean appartient au cercle des douze disciples du Seigneur, les Apôtres. Le Seigneur distingue trois disciples parmi les douze, Jean, son frère Jacques, et Pierre. Et Il destina à Jean deux révélations particulières : la première se trouve dans son Évangile et traite de l'Amour divin : d'une part de la Philanthropie de Dieu envers sa créature, et d'autre part de l'Amour de l'homme envers son Créateur et Sauveur, selon le double commandement de la charité qui présuppose l'inhabitation du Saint-Esprit dans son cœur. Dans son Évangile, Jean se désigne lui-même par l'expression « le disciple ou celui que Jésus aimait. » La deuxième révélation que Jean fut chargée d'écrire est le livre de l'Apocalypse. Contrairement aux synoptiques, l'Évangile de Jean ne parle pas d'eschatologie. Or l'Apocalypse décrit en détails la fin du sixième jour de la création, et la fin du septième ; l'instauration du Royaume de mille ans du Fils, et l'entrée dans le Royaume du Père, qui est le huitième jour sans fin. Jean prépare son lecteur au jour de sa propre résurrection, lorsque le vrai disciple sera pleinement rempli par le Saint-Esprit, et doté d'un corps glorifié. Il ne témoigne pas seulement de la divinité du Messie Yéchoua parmi les hommes, mais il s'approche du mystère de l'Éternel, « Celui qui est, qui était, et qui vient (Apoc. 1:4-8). » Une des marques de cet Évangile est les sept paroles de Christ affirmant sa divinité : Je suis, le Pain de Vie (6:35), la Lumière du monde (8:12), la Porte des brebis (10:7), le Bon Berger (10:14), la Résurrection et la Vie (11:25), le Chemin, la Vérité et la Vie (14:6), la Vraie Vigne (15:1). Une seconde marque est son prologue qui dévoile l'existence de Yéchoua auprès du Père, comme Verbe du Père, avant la création. Enfin une troisième marque est le dévoilement de la communion entre le Fils et le Père. Jean, frère de Jacques, fils de Zébédée, vivait à Capharnaüm et travaillait dans la pêcherie de son père. Sa mère, Salomé, était vraisemblablement la sœur de Marie, mère de Jésus. Comme la plupart des disciples, et le Seigneur Lui-même, Jean appartenait sans doute au courant prophétique et messianique essénien (voir les manuscrits de la mer morte) qui était en opposition aux Sadducéens et aux Pharisiens, qui s'étaient écartés de la Loi de Moyse. Les Esséniens se considéraient comme le véritable Israël, ils se désignaient comme les Fils de la Lumière, opposés aux fils des ténèbres, et les Fils de l'Alliance Renouvelée (expression plus exacte que Nouvelle Alliance). Irénée de Lyon déclare que Jean publia son Évangile durant son séjour à Éphèse (CH, III, 1:1).