2 eme parti de la trilogie des quatsi de Ron Fricke
* Powaqqatsi (powaq-qatsi (de « powaqa » : sorcier, et « qatsi » : vie). Nom donné par les Indiens Hopi d’Amérique du Nord à une manière d’être, une entité, qui se nourrit des forces vitales des autres êtres dans le but de favoriser sa propre existence.) : Les différentes cultures, le contraste Nord/Sud, Nature/Technologie.
Inspirant des solutions transpolitiques, locales et décentralisées, THRIVE II offre des outils pratiques pour reprendre l'autorité sur nos vies. Des nouvelles sources d'énergie aux remèdes de santé révolutionnaires, THRIVE II fournit les informations et les ressources dont les téléspectateurs ont besoin pour franchir les prochaines étapes pour accéder et soutenir les solutions qui peuvent vraiment créer un monde qui fonctionne pour tous.
3eme episode de la trilogie qatsi de Ron Fricke
Signes de la Grande Prophétie Hopi
https://michelduchaine.com/2013/11/20/les-nouveaux-signes-de-la-grande-prophetie-hopi/
* Naqoyqatsi (Na-qoy-qatsi (tiré de la langue Hopi), nom. 1. Une vie basée sur le meurtre du prochain 2. La guerre comme manière de vivre. 3. (Interprétation) La violence civilisée.)
Carefully picked scenes of nature and civilization are viewed at high speed using time-lapse cinematography in an effort to demonstrate the history of various regions.
Baraka is an incredible nonverbal film containing images of 24 countries from 6 continents, created by Ron Fricke and Mark Magidson, with music from Michael Stearns and others. The film has no plot, contains no actors and has no script. Instead, high quality 70mm images show some of the best, and worse, parts of nature and human life. Timelapse is used heavily to show everyday life from a different perspective. Baraka is often considered a spiritual film.
Si le documentaire Hold-Up était le premier épisode d’ un feuilleton, « Le crime parfait » réalisé par Olivier Probst pourrait faire figure de deuxième épisode avec une montée en puissance exponentielle. Le réalisateur dresse un bilan implacable, documenté et irréfutable des événements covid qui ont marqué 2020, que je qualifierais volontiers « d’anus horribilis, le trou du cul de l’ l’Histoire du monde »