Comment faire pour vraiment emmerder macron - F. Asselineau UPR
Lors de la crise sanitaire, Macron avait dit qu’il voulait « emmerder » les Français non-injectés. Lors de la réunion publique de Saint-Maur-des-Fossés du 9 février 2024, François Asselineau explique, quant à lui, la meilleure façon de lui retourner le compliment.
Cette semaine dans "Le Nouvel I-Média", Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin reviennent sur l’action des jeunes femmes de Nemesis qui ont déployé deux banderoles à Lille lors de la grande Braderie. Braderie durant laquelle elles ont aussi interpellé un Gérald Darmanin, tout sourire en premier lieu, puis très fuyant après une question sur l’application des OQTF.
Le dossier du jour est consacré à la décision de rentrée de Gabriel Attal, d'interdire l’Abaya dans les établissements scolaires. Une nouvelle note de service de l’Education nationale chargée à blanc pour des écoles toujours plus dépassées par la mise en application du respect de la laïcité et un émoie médiatique de taille qui flaire bon le coup de com’ gouvernemental.
Enfin, la météo de l’info reviendra sur la diversion médiatique là encore, mais cette fois-ci dans le sport.
Sans oublier les pastilles de l'information et le portrait piquant du jour consacré journaliste de Libération, Pierre Plottu !
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Sommaire I-Média 455
La météo de l’info : Diversion sportive et médiatique
L’image de la semaine : Némésis se paie Darmanin
Le dossier : L’abaya, le coup de com' de Gabriel Attal
Les pastilles de l’info :
Le rappeur Médine et le chanteur Bilal Hassani, “frères de douleur”
Le retour de l’affaire Drahi / Pereira
Nord Stream, les nouveaux coupables idéaux
L’alarmisme climatique qui faisait vendre !
Anne Hidalgo in Paris
Pas d’asile pour Julian Assange
La presse monte en épingle Jordan Bardella
Puy du Fou : encore une année flamboyante !
Conclusion
Portrait piquant : Pierre Plottu
Liens utiles :
OJIM : www.ojim.fr
Après la défaite de 1940, de nombreux hommes de gauche s'égarent dans la collaboration par pacifisme ou anticommunisme. Certains, comme l’ancien ministre du Front populaire, Charles Spinasse, décident de soutenir la politique de collaboration de Vichy.
Mais se font déjà sentir les soubresauts de la révolution nationale organisée par les fonctionnaires de la branche radicale-socialiste.
A Paris, les partisans les plus durs de l’Allemagne se réunissent. Les historiens Pascal Ory, Olivier Wieviorka et Simon Epstein reviennent sur cette période trouble.