Après “Tous vaccinés”, puis “L’affaire astrazeneca”, Armel Joubert des Ouches a réalisé un documentaire sur la vaccination des mineurs contre la Covid. Jamais la question du rapport bénéfice-risque n’est posée lorsque l’on évoque la vaccination des mineurs. Jamais les drames directement liés à la vaccination d’enfants ne sont relayés par les grands médias.
Le journaliste indépendant Armel Joubert des Ouches est parti à la rencontre de proches de victimes et de professionnels de santé. Ils témoignent face caméra. En raison des risques professionnels qu’ils encourent, certains spécialistes ont choisi de ne pas apparaitre à l’image.
Vidéo de 6 ans sur l'inefficacité du masque aux particules fines.
Un virus étant plus petit, croyez-vous être protégé ou rassuré à tord.https://youtu.be/v7aBs8KEYas
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https://www.youtube.com/watch?v=xxEu6LSNSLM
Le vaccinologue belge Geert Vanden Bossche explique ses réticences sur la vaccination massive pendant la pandémie et pourquoi la fameuse immunité de groupe ne pourra jamais être atteinte, bien au contraire !
Il met en garde contre la vaccination des enfants et explique le rôle bénéfique des non-vaccinés dans le contrôle de la circulation du virus.
Les pandémies, une nouvelle ère de guerres secrètes ?
17.04.2021 | www.kla.tv/18535
Paul Schreyer, écrivain, journaliste et rédacteur d’ouvrages critiques, parle dans sa conférence « Jeux de simulation pandémique – Préparation d’une nouvelle ère ? » de l‘évolution politique après la fin de la guerre froide (1945 à 1990). Cette période était marquée par la peur réelle de la guerre nucléaire. L'Est et l'Ouest étaient fortement armés et se menaçaient mutuellement de destruction totale. Mais ensuite est venu l’effondrement de l'Union soviétique, symbolisé par la chute du mur de Berlin en 1990. Le monde a poussé un soupir de soulagement et voulait la paix, tandis que le gouvernement américain s'est inquiété de savoir comment justifier les dépenses militaires alors que soudain il n’y avait plus d'ennemi. Comment faire comprendre à la population qu'elle a malgré tout besoin d'une armée forte, avec des dépenses d'armement et des systèmes d'armes importants ?
L’attentat du World Trade Center en 1993 et du bâtiment fédéral d’Oklahoma City en 1995 ont ensuite déclenché une nouvelle ère de guerre, « la guerre contre le terrorisme », qui a laissé des traces de sang dans de grandes parties du monde. Paul Schreyer a dit que le gouvernement américain, avec le soutien des médias, a alors gagné l'approbation populaire concernant la nécessité d’augmenter les dépenses de défense pour les armes biologiques et chimiques.
En 1998, dans un document stratégique interne au Pentagone, l’un des principaux experts en armes biologiques, le colonel Robert Kadlec, a souligné les « avantages » des armes biologiques, je cite : « Lorsque des armes biologiques sont utilisées sous couvert d’une épidémie limitée dans l’espace ou d’origine naturelle, on peut nier leur utilisation de manière crédible [...].
La possibilité de provoquer de graves pertes économiques et par la suite une instabilité politique, combinée à la possibilité de nier son utilisation de manière crédible, cela dépasse les capacités de toute autre arme connue. »
La même année 1998, le « Center for Health Security », en français « Centre pour la sécurité sanitaire », affilié à l’université Johns Hopkins, a été fondé aux États-Unis avec l’argent d’une fondation milliardaire. Un an plus tard ce Centre pour la sécurité sanitaire a commencé à organiser des exercices avec des jeux dits de planification de bioterrorisme.
Paul Schreyer les a examinés de plus près. Leurs noms semblent tout droit sortis de films futuristes : « Dark Winter », « Global Mercury », « Atlantic Storm », « Clade X » et en octobre 2019 l’exercice « Event 201 ». Ce dernier point mérite un examen plus approfondi : il était organisé de nouveau par le Center for Health Security. Les coorganisateurs étaient la Fondation Gates, le Forum économique mondial et des groupes pharmaceutiques et médiatiques américains. Dans cet exercice, on a joué à faire face à une pandémie de coronavirus, notamment en ce qui concerne les relations publiques.
Il est indiqué dans la documentation de cet exercice : « Les gouvernements devront collaborer avec les sociétés de médias pour étudier et développer des approches plus efficaces de la lutte contre la désinformation. Pour ce faire Il faudra développer la capacité d'inonder les médias d'informations rapides, précises et cohérentes [...]. Pour leur part, les sociétés de médias devraient s'engager à faire en sorte que les messages officiels soient prioritaires et que les faux messages soient réprimés, y compris par le biais de la technologie. »
En résumé, on peut dire que c’est lors de tels exercices que des scénarios de pandémie ont été répétés et développés en permanence ; les conséquences de la maladie et de la vaccination sur les citoyens y ont joué un rôle central.
Les participants à ces jeux de simulation étaient des représentants haut placés des autorités et des gouvernements ainsi que des journalistes renommés, et enfin des membres du conseil d’administration de multinationales. Dans tous les exercices, la limitation des droits civils et des libertés a également joué un rôle. En 2020, l'OMS a effectivement déclaré une pandémie de coronavirus. Un grand nombre des mesures répétées et discutées pendant des années dans les jeux de simulation ont depuis été mises en œuvre au niveau mondial. Dans ce contexte, peut-on encore croire à une pandémie « accidentelle » ?
de wou.
Sources / Liens :
Quellen: Paul Schreyer: Pandemie-Planspiele – Vorbereitung einer neuen Ära? www.youtube.com/watch?v=SSnJhHOU_28