Arthur se fait entrainer par son maître d’armes, qui stimule le combat en insultant copieusement le roi.
Ce dernier n’apprécie guère, et le fait savoir.
Le maître d'armes, dévoué à son roi, lui explique que sans les insultes, il leur serait difficile d'avoir envie de se battre l'un contre l'autre.
Il exhorte Arthur à suivre son exemple. Arthur entre un peu trop bien dans le jeu : il utilise des blessures intimes du maître.
Cela stimule d'autant plus les combattants.
Pour finir la cérémonie, il faut un druide. On va chercher Merlin (même s'il ne sait pas lire le druidique...). Léodagan et Séli, parents de l'échangée absente (fuyarde), contestent la légitimité et la validité de la cérémonie. Et craignent pour leur position à la cour... Mais la cérémonie a bel et bien lieu.
Légèrement vexé par une insulte de Léodagan concernant ses compétences de chef militaire, Perceval se confie à Karadoc, qui lui recommande de ne pas se laisser faire, d’être un chevalier et de se faire considérer « en tant que tel ». Mais quand Perceval va se plaindre à Arthur, il déforme les propos de Karadoc, ce qui a pour conséquence de créer un énorme quiproquo.
Séli surveille les stocks de nourriture aux cuisines et interdit successivement au Père Blaise de venir se faire un petit goûter de minuit. Puis Arthur... Puis Léodagan... Mais pas Karadoc ! Pourquoi ?
Le père Blaise et Léodagan ont traduit le code de chevalerie, originellement écrit en ancien Celte. Dès lors, les séances de la Table ronde font relâche les veilles de pleine lune, et les chevaliers ont droit de se retirer des assemblées lorsque leur honneur est bafoué publiquement. De plus, ils demandent de faire des pauses avant, après, et même durant les combats. Après réflexion, le roi décide de ne pas valider cette traduction.
Premier contact d’Arthur avec le frère de Karadoc, Kadoc. Celui-ci est atteint d’un retard mental, expliqué par le fait qu’il ne dort jamais. Karadoc essaye de le caser à la Table Ronde, en vain, avant de l’engager dans l’armée de Kaamelott…
Arturus est nommé chef de guerre, mais ce poste lui déplaît, car il sait que ce n'est pas pour son mérite, mais pour le faire parvenir au poste de roi de Bretagne. Arthur discute avec César, qui lui donne plusieurs « conseils ». Il cultive une passion pour Aconia, sa préceptrice, tandis que de leur côté, Perceval, Karadoc, Bohort et Lancelot essaient d'accomplir une quête.