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LBRY Claims • cancer-de-la-prostate-la-testostérone

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18 Jun 2021 18:49:44 UTC
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Cancer de la prostate : La testostérone un manque et non un excès en serait la véritable cause.
Depuis plusieurs décennies, le cancer de la prostate est associé à un excès de testostérone. Mais selon des chercheurs français, ce serait tout l'inverse. Les vieilles croyances ? Balayées.
Cancer prostatique : remise en cause du rôle de la testostérone. Au contraire, un déficit en cette hormone pourrait favoriser une forme agressive de la tumeur.
Une mise à jour du rôle de la testostérone dans le cancer de la prostate et un nouvel usage thérapeutique de la testostérone
*Publiée dans la revue Hormones and Cancer (Novembre 2018)
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1166708717301902
Contrairement à l’idée établie depuis de nombreuses décennies, la testostérone n’est pas responsable du cancer de la prostate. D’après une étude mise en place à l’hôpital Foch par le Pr Henri BOTTO son déficit pourrait même être associé à l’agressivité de la tumeur prostatique.

Objectifs et présentation de l’étude ANDROCAN
1- Démontrer de façon définitive que c’est le manque de testostérone qui fait la gravité du cancer de la prostate.

En effet, il est suspecté depuis quelques années qu’un taux insuffisant de testostérone (hypogonadisme) serait un facteur associé à une gravité particulière du cancer de la prostate.

2- Et, en finir ainsi avec ce paradoxe qui fait de la testostérone l’hormone de la vie masculine jusqu’à 55/60 ans où, pour une raison totalement inconnue, elle « donnerait » le cancer de la prostate interdisant tout supplémentation en testostérone même si elle est cliniquement indiquée.

Il s’agit d’une étude prospective multicentrique et observationnelle réalisée par 4 services d’urologiques français, l’hôpital Foch, institut Montsouris, CHU Pitié-Salpêtrière et le CHR de Colmar.

Cette étude concerne 1343 patients porteurs d’un cancer de la prostate localisé et traité par prostatectomie radicale robot-assistée. Tous ces patients ont eu en pré-opératoire un bilan hormonal large (incluant les précurseurs et les métabolites de la testotérone). Les dosages ont été effectués par chromatographie spectométrie, selon les recommandations internationales.

Par sa méthodologie, sa rigueur biologique et l’importance inégalée de la cohorte, ANDROCAN confirme que la gravité du cancer localisé de la prostate est liée à l’hypogonadisme. Alors que, l’étude de Charles Huggins en 1942 (qui lui valut le prix Nobel de médecine en 1966) entérinait la responsabilité de la testostérone dans l’apparition du cancer de la prostate. Il démontrait que les cancers de prostate métastasés étaient temporairement contrôlés par la castration établissant ainsi le fait que le cancer de prostate était un cancer lié à la testostérone.
...
https://www.youtube.com/watch?v=ohdtt0PePyU
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Unspecified
video/mp4
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Open in LBRY

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