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https://odysee.com/@Patrick_E-H:1/Pr.-Antony-C.-Sutton---Armes-psychotroniques,-contr%C3%B4le-et-modification-du-comportement.-Doc.-1982.:4 • Antony Cyril Sutton (14 février 1925 - 17 juin 2002) était un économiste, historien et écrivain britannique et américain. • Sutton a étudié aux universités de Londres, de Göttingen et de Californie, et a obtenu son doctorat en sciences à l'université de Southampton. Il a été professeur d'économie à l'université d'État de Californie à Los Angeles et chercheur à la Hoover Institution de l'université de Stanford de 1968 à 1973. Pendant son séjour à la Hoover Institution, il a rédigé une étude majeure intitulée Western Technology and Soviet Economic Development (en trois volumes), dans laquelle il affirme que l'Occident a joué un rôle majeur dans le développement de l'Union soviétique depuis ses débuts jusqu'à aujourd'hui (1970). Selon Sutton, la base technologique et manufacturière de l'Union soviétique - qui approvisionnait alors le Viêt-cong - a été construite par des sociétés américaines et largement financée par les contribuables américains. Les aciéries et les usines sidérurgiques, l'usine automobile GAZ - une filiale de Ford, située en Russie orientale - et de nombreuses autres entreprises industrielles soviétiques ont été construites avec l'aide ou l'assistance technique des États-Unis ou de sociétés américaines. Il a ajouté que l'acquisition par l'Union soviétique de la technologie MIRV a été rendue possible par la réception (de sources américaines) d'équipements d'usinage pour la fabrication de roulements à billes de précision, nécessaires à la production en masse de missiles dotés de MIRV. • En 1973, Sutton a publié une version vulgarisée et condensée des sections du troisième volume à venir relatives à la technologie militaire, intitulée National Suicide : Military Aid to the Soviet Union (Suicide national : aide militaire à l'Union soviétique), après quoi il a été évincé de la Hoover Institution[1]. La conclusion de ses recherches sur la question est que les conflits de la guerre froide n'ont pas été menés pour freiner le communisme, puisque les États-Unis, en finançant l'Union soviétique, ont armé directement ou indirectement les deux camps, au moins en Corée et au Viêt Nam ; ces guerres ont plutôt été organisées pour générer des contrats d'armement de plusieurs milliards de dollars[2]. La mise à jour de ce texte, The Best Enemy Money Can Buy (Le meilleur ennemi que l'argent puisse acheter), a examiné le rôle des transferts de technologie militaire jusqu'aux années 1980. L'annexe B de ce texte contient le texte de son témoignage de 1972 devant la sous-commission VII du comité de la plate-forme du parti républicain, où il résume les aspects essentiels de l'ensemble de ses recherches. • En quelques mots : la technologie soviétique n'existe pas. La quasi-totalité - peut-être 90 à 95 % - provient directement ou indirectement des États-Unis et de leurs alliés. En fait, les États-Unis et les pays de l'OTAN ont construit l'Union soviétique. Ses capacités industrielles et militaires. Cette construction massive a duré 50 ans. Depuis la révolution de 1917. Elle s'est faite par le commerce et la vente d'usines, d'équipements et d'assistance technique[3]. • Les trois principaux ouvrages publiés par Sutton - Wall Street and the Bolshevik Revolution, Wall Street and the Rise of Hitler et Wall Street and FDR - décrivent en détail l'implication de Wall Street dans la révolution bolchevique (afin de détruire la Russie en tant que concurrent économique et d'en faire "un marché captif et une colonie technique à exploiter par quelques grands financiers américains et les sociétés qu'ils contrôlent"[4]), ainsi que ses contributions décisives à l'ascension d'Adolf Hitler et de Franklin Delano Roosevelt, dont il estime que les politiques sont essentiellement les mêmes, à savoir un "socialisme d'entreprise" planifié par les grandes sociétés[5].Sutton a conclu que tout cela faisait partie du "programme à long terme des élites du pouvoir économique visant à nourrir le collectivisme"[6] et à encourager le "socialisme d'entreprise" afin de garantir "l'acquisition monopolistique de la richesse", parce qu'elle "disparaîtrait si elle était exposée à l'activité d'un marché libre", C'est selon lui, la seule solution pour éviter de tels abus à l'avenir. • Au début des années 1980, Sutton a utilisé une combinaison d'informations du domaine public sur Skull and Bones (comme les annuaires de Yale) et de documents inédits qui lui ont été envoyés par Charlotte Iserbyt, dont le père était membre de Skull and Bones[7], pour supposer que l'organisation avait joué un rôle important dans la coordination des relations politiques et économiques sous-jacentes aux événements historiques qu'il (Sutton) avait décrits dans ses ouvrages antérieurs. Il a publié ses spéculations sous le titre America's Secret Establishment : An Introduction to the Order of Skull and Bones - qui, selon Sutton, est son ouvrage le