À la grande joie de Mononque, ce dernier et Papa sont contrôlés par l’aide sociale et doivent réintégrer le marché du travail. Mao est victime de racisme à l'école. Maman s'automatise.
Mononque travaille dans les transports en commun et vit mal son déménagement. Dodo est découverte par un client qui fait de la télé communautaire. Il lui propose une chronique sexualité dans son magazine télé. Dodo fait fureur avec sa façon si personnelle d’aborder le sujet. Papa donne un coup de main à Chabot pour qu’il fasse son quota mensuel de contraventions.
Les Bougon se sont fait cambrioler. Devant le refus de payer des assureurs, Papa décide de lancer les Bougon dans l’aventure des assurances. Junior se filme en moult expériences "jackassiennes" afin de devenir millionnaire et avoir plein de filles.
Maman considère que les Bougon sont allés trop loin et qu’ils doivent rembarquer dans le système. Malgré l’opposition de Papa, tous se résignent et se trouvent un boulot, ou presque, Mononque étant le seul à ne pas y parvenir. Bien sûr, ce moment honnête sera un fiasco.
Avec l’argent amassé depuis longtemps, la famille décide d’en profiter un peu. Ils achètent une maison dans un quartier huppé et leurs voisins capotent. De son côté, Mononque devient vendeur de meubles dans un magasin où les employés préparent la syndicalisation. Déchiré entre le patron et le syndicat, choisira-t-il le bon camp?
Mononque part de la maison et se retrouve dans un immeuble rempli de gens comme lui, et pire encore. À la maison, Maman arrête de fumer pour son bien et celui de la grossesse de Dolorès qui, de son côté, publie un roman qu’elle a écrit en cachette. Sous le titre «Plote», son œuvre devient un grand succès.