Le pasteur Ted Wilson nous rappelle une merveilleuse occasion de participer à l'Offrande annuelle de sacrifice le jour du sabbat, le 14 novembre. Comment le sacrifice peut-il être une bénédiction ? Voici une histoire intéressante sur un événement qui s'est produit il y a environ 100 ans. Au début des années 1900, le travail des missionnaires adventistes était florissant. Les missionnaires quittaient leurs maisons en grand nombre, se rendant dans des lieux lointains pour partager l'amour de Jésus et les messages importants donnés par les trois anges d'Apocalypse 14. Puis, tragiquement, la pandémie de grippe espagnole de 1918 a frappé, tuant des millions de personnes et plongeant l'économie dans une profonde récession. Les dîmes et les offrandes ont chuté, et il n'y avait pas assez d'argent pour continuer à soutenir les missionnaires. Les dirigeants de l'Église craignaient de devoir les rappeler. Aussi, lors des réunions du Conseil annuel du Comité exécutif de la Conférence générale, qui se sont tenues du 20 au 27 septembre 1922 à Kansas City, dans le Missouri, les délégués ont décidé, dans la prière, de demander aux membres de l'église de donner une semaine de salaire en sacrifice pour couvrir le déficit budgétaire d'un quart de million de dollars cette année-là. Malgré les conditions difficiles du début des années 1920, les membres ont répondu en donnant plus de 350 000 dollars au cours de l'année suivante à ce qui est devenu la Semaine annuelle d'offrande de sacrifices. Le sacrifice que les 208 771 membres de l'Église adventiste du septième jour ont consenti en 1922 est remarquable lorsque leur contribution se traduit en dollars d'aujourd'hui. Si l'on tient compte de l'inflation, cette contribution de 350 000 dollars à l'époque équivaut à plus de 4 millions de dollars de pouvoir d'achat aujourd'hui ! Aujourd'hui, près de 100 ans plus tard, notre église est confrontée à une crise similaire alors que COVID-19 brise des vies et l'économie. Alors que les offrandes missionnaires diminuent, le futur ministère des pionniers de la mission mondiale est incertain. Ces missionnaires, pour la plupart locaux, se spécialisent dans l'aide aux groupes de personnes les plus difficiles à atteindre dans le monde pour Jésus. Alors que l'histoire se répète, pouvons-nous, en tant qu'église, répéter une réponse sincère et sacrificielle pour maintenir nos missionnaires en première ligne ? Au fil des ans, cette offrande s'est poursuivie, 100 % de l'offrande étant destinée au travail de première ligne de la Mission mondiale pour l'implantation d'églises dans des régions du monde non atteintes ou sous-atteintes et parmi de nouveaux groupes de personnes. Que sommes-nous prêts à sacrifier pour la mis ... https://www.youtube.com/watch?v=MtNEdn73nig