Mononque part de la maison et se retrouve dans un immeuble rempli de gens comme lui, et pire encore. À la maison, Maman arrête de fumer pour son bien et celui de la grossesse de Dolorès qui, de son côté, publie un roman qu’elle a écrit en cachette. Sous le titre «Plote», son œuvre devient un grand succès.
Maman considère que les Bougon sont allés trop loin et qu’ils doivent rembarquer dans le système. Malgré l’opposition de Papa, tous se résignent et se trouvent un boulot, ou presque, Mononque étant le seul à ne pas y parvenir. Bien sûr, ce moment honnête sera un fiasco.
Beaudoin place une pancarte «À vendre» devant sa maison et vient même négocier un pourcentage du prix de vente avec les Bougon s’ils se montrent de bons locataires. Lorsque le duplex est sur le point de se vendre, les Bougon réalisent que les nouveaux acheteurs envisagent de les évincer. Un inspecteur en bâtiment saura décourager les acheteurs.
Dolorès est en cure de désintoxication et thérapie fermée. Junior et Maman arnaquent les propriétaires de chiens jusqu’à ce qu’une fille arnaque le cœur de Junior.
À la grande joie de Mononque, ce dernier et Papa sont contrôlés par l’aide sociale et doivent réintégrer le marché du travail. Mao est victime de racisme à l'école. Maman s'automatise.
Junior est jugé et condamné à des travaux communautaires auprès d’handicapés. Gagnon, le représentant de la défense des pauvres, débarque chez les Bougon avec des journalistes.
La famille est invitée dans une fête surprise pour le 35e anniversaire de mariage d’Aline et Jean Bessette. Les Bougon côtoient le grand monde. Mononque traverse une passe suicidaire. Heureusement, il est aussi compétent à se suicider qu’à exister.