Depuis le jour où Donald Trump a été élu en 2016, on nous a dit que la Russie était tout en haut de la liste des menaces contre l'Amérique.
La Russie a pénétré notre gouvernement. La Russie menace notre démocratie. La Russie travaille sans relâche pour renverser notre économie et notre mode de vie.
Bien sûr, de telles affirmations étaient un mensonge, et nous en sommes tous conscients maintenant. La Russie n'a jamais eu le pouvoir ou l'argent pour contrôler notre gouvernement, et il n'y a même aucune preuve qu'elle ait essayé.
Mais cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas eu de collusion.
En fait, les hauts dirigeants du gouvernement et des entreprises américains ont été compromis par une puissance étrangère qui cherche à saper notre pays et notre système démocratique. Il s'avère que beaucoup de ceux-là mêmes qui ont dénoncé avec tant d'hystérie à propos de la Russie faisaient exactement ce qu'ils prétendaient décrier.
Ils travaillaient pour notre principal rival mondial, le gouvernement chinois.
Le canular de la Russie était effectivement une diversion. Il a caché quelque chose qui n'est pas du tout un canular, mais qui est réel et menaçant pour nous tous.
Nous allons passer le futur prévisible à rendre compte de la relation entre les élites politiques et financières américaines et le gouvernement communiste chinois qui en a rendu beaucoup très riches. Vidéo publiée dans l'intérêt public
Source VO - https://www.youtube.com/watch?v=8A26Dq5Gv4M&ab_channel=ForTheRecord007
Source VF - https://www.youtube.com/watch?v=7uyn5banIuc&ab_channel=LaCroixduSud
GAFA : C'est BIG BROTHER. 1984, C'est maintenant.
Le monde fictif de George Orwell, où "Big Brother" règne en maître, n'est plus une invention de l'imagination, mais est en passe de devenir une réalité...
Lien de la vidéo originale datant du 21 janvier 2021 :
Source - https://odysee.com/@BobTremblay:6/No.147:f
Pour cette 300ème émission de "Politique & Eco", Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Jean-Pierre Chevallier, analyste financier indépendant.
Depuis une dizaine d’années, les banksters jonglent pour éviter le pire par tous les moyens, et pour l’instant, ils ont réussi à survivre tant bien que mal. Mais, selon Jean-Pierre Chevallier, le jour fatal arrivera car les banques sont en grande difficulté, voire au bord de la faillite comme la Deutsche Bank ou la Société Générale, alors même qu'elles bénéficient de la manne de la BCE.
Tout cela parce que depuis le début du XXIème siècle elles ont abandonné les règles prudentielles, à savoir que leurs engagements sur fonds propres ne devraient pas dépasser un ratio de 1/10 alors qu’elles sont à 1/30, 1/40 et plus. Il est clair que l'excès de liquidité sur les marchés et cette période délirante de taux nuls ou négatifs alimentent les spéculations les plus folles et stimulent l’appât du gain.
Pragmatique, Jean-Pierre Chevallier part des bilans bancaires. Pour prendre le cas de la Société Générale, les pertes potentielles (non provisionnées) de 53 milliards d’euros sur les prêts irrecouvrables qu’elle a octroyés à ses clients sont supérieurs au montant de ses capitaux propres tangibles (réels) de… 47,6 milliards (documents publiés par la banque dans ses résultats financiers au 1er trimestre 2021).
En appliquant les règles comptables en vigueur (IFRS 9), la Société Générale a donc des capitaux propres … négatifs ce qui aurait dû conduire ses dirigeants à déclarer la banque en faillite. Enfin, la Société Générale oublie de compter les pertes potentielles hors bilan qui représentent un total de 74,002 milliards.
Donc en cas de faillite d’une ou plusieurs banques, que se passerait-il ? La référence en la matière est ce qui s’est passé en Grèce (2008) et à Chypre (2012) et aussi et surtout en Allemagne après la Première guerre mondiale. D’abord, le système bancaire français sera entièrement bloqué pendant quelques jours : aucun distributeur automatique de billets ne fonctionnera, les agences bancaires seront fermées, personne ne répondra au téléphone, ni aux emails, les comptes gérés par internet seront inaccessibles ou figés.
Il n’existe aucune garantie des dépôts bancaires en France dans la mesure où le Fonds de garantie des dépôts et de résolution ne dispose que de 4,7 milliards d’euros, soit moins de 100 euros pour chacun des 50 millions de clients ! Toutes ces analyses confirment l’aggravation de la crise qui couve toujours dans la zone euro ...
Source - https://www.youtube.com/watch?v=Nhao4Mb8UBE&ab_channel=Cha%C3%AEneofficielleTVLibert%C3%A9s
Nouvelle édition d’Intérêt Public, l’émission d’actualité bihebdomadaire du Média. Avec deux sujets à la Une :
- Nous parlerons du naufrage sanitaire, scientifique, social et politique de Sanofi. Si les Américains, les Anglais, les Russes, les Chinois ont tous trouvé une solution, la France est à la traîne : le groupe a annoncé fin décembre plus de 6 mois de retard dans la livraison d’un vaccin.
Malgré cet échec et l’humiliation sur le plan international, Sanofi ne tire aucune leçon. La multinationale, avec l’aide de l’Elysée, poursuit ses restructurations et continue la saignée du pôle industriel de la santé : la direction de Sanofi Recherche et Développement en France a confirmé, fin janvier, la suppression de 364 emplois en France.
Pour en discuter, Le Média reçoit Pascal Collemine, chimiste et délégué central CGT chez Sanofi.
- En seconde partie d’émission, l’ancien policier Noam Anouar inaugurera sa chronique : “Le regard de Noam Anouam”. II évoquera deux affaires : celle d’un policier “puni” pour avoir été en couple avec une sans-papiers ; et aussi la polémique sur les amendes infligées aux automobilistes dans les embouteillages créés par la mise en place du couvre-feu.
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Source - https://www.youtube.com/watch?v=pbYRWC9HnQo&ab_channel=LeM%C3%A9dia