Hormis la nervosité croissante de Joe Biden et de Kamala Harris en vue de l’investiture qui aura lieu aujourd’hui, le 20 janvier 2021, ces derniers jours ont été plutôt calmes aux États-Unis.
Le 19 janvier, le secrétaire de l'armée américaine Ryan McCarthy a déclaré dans une interview que les commandants de l'armée américaine étaient à l'affût de toute menace potentielle avant l'inauguration de Joe Biden et qu'ils enquêtaient sur chaque personne impliquée dans une quelconque opération. Il a ajouté que jusqu'à présent, ce contrôle politique, basé sur une enquête réalisée auprès de 25 000 membres de la Garde nationale, n’avait pas fait émergé de traître.
#Janvier #Élections #6Janvier
Le jour que vous avez tous attendu ! Le 6 janvier 2021.
Le président du House Freedom Caucus, Andy Biggs, a récemment déclaré : « Le 6 janvier, ce sera la première fois que le pays entier ne sera pas censuré par les médias de gauche - nous serons là pour débattre. Ce qui va se passer sera beau, et le peuple américain va tout entendre, certains d'entre eux pour la première fois. »
Aujourd'hui, le 6 janvier 2021, au moins 140 représentants de la Chambre des représentants s'opposeront aux votes électoraux de certains États.
D'après ce que nous savons à l'heure actuelle, lorsque le Congrès se réunira en session conjointe pour compter les votes électoraux, des objections seront formulées au Sénat et à la Chambre, et les deux chambres vont se réunir et examiner l'objection séparément.
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#Stabilité #Inauguration #Biden
C’est la première fois dans l'histoire américaine que l'armée va être autant sollicitée lors d’une inauguration, afin de veiller à la sécurité et à la stabilité du peuple américain. Le secrétaire à l'armée des États-Unis, Ryan McCarthy, a approuvé la mise en place de 21 000 membres de la Garde nationale, à Washington D.C. le 20 janvier. Dans les environs du Capitole et de la Maison Blanche, on a ordonné la fermeture de certaines routes.... et des barbelés ont été installés sur les clôtures qui encerclent certains monuments.
En outre, la censure des discours va viser beaucoup plus de comptes Twitter. Elle va viser des comptes que Twitter juge dangereux, et elle va durer longtemps. En d'autres termes, la censure des géants de la technologie va progressivement se normaliser et s'institutionnaliser.
En fait, cela nous montre clairement quel est l'état actuel de la société américaine. Le pouvoir en place est soucieux de maintenir la stabilité. Maintenir la stabilité, n'est-ce pas une tactique phare du régime communiste chinois ? En fait, le « maintien de la stabilité » est l’une des caractéristiques principales de tous les régimes totalitaires. En surface, il s'agit de maintenir la stabilité au sein du régime, alors qu'en réalité, les personnes au pouvoir oppriment violemment les mouvements sociaux qui s'opposent à leurs politiques.
Les médias mainstream façonnent l’opinion publique. Ils influencent votre façon de voir le monde et vous donnent des indices, afin de vous amener à comprendre ce qui est bien et ce qui ne l’est pas.
Les médias mainstream ont-ils toujours raison ? Il est possible que la vérité médiatique ne soit qu’une vérité biaisée, basée sur les intérêts personnels de quelques individus, d’une entreprise particulière, ou encore d’un parti politique bien précis. Je n’affirme rien, je pose simplement une question. Quels intérêts les informations que l’on vous donne servent-elles ?
Traditionnellement, les médias grands publics se doivent de valoriser la justice, de promouvoir la bonté, et de condamner les choses amorales et malsaines d’une société. Les médias mainstream ont un devoir d’intérêt public.
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Destitution du président ; Taïwan : liberté et démocratie ; La Big Tech condamnée
Actuellement, le Sénat est en pause et ne reprendra pas ses activités avant le 19 janvier. Il est donc impossible de mener à bien l'ensemble du processus de destitution souhaité par les adversaires de Trump. Une fois la passation des pouvoirs terminée, le président Trump n'aura plus le titre de président. Et à vrai dire, il n'existe aucune disposition constitutionnelle permettant de destituer un ancien président.
Le premier grand pas vers la déshumanisation du mouvement Make America Great Again est de mettre en accusation le président Trump. Cette fois-ci, la destitution du président est censée être le résultat de la soi-disant incitation de Trump à l'émeute qui a eu lieu au Capitole. Donc, si la destitution est votée, le lien entre le mouvement Make America Great Again et le terrorisme sera renforcé. Après cela, il ne sera pas difficile d'interdire tous les rassemblements de Make America Great Again.
C'est pourquoi le président Trump et le vice-président Pence se sont rencontrés et ont convenu de condamner les individus qui ont violemment pris d'assaut le Congrès, afin de les dissocier des 75 millions de partisans de Make America Great Again, qui évidemment n’ont rien à voir avec ces violences. Grâce à cela, il est très peu probable que la destitution soit adoptée par une majorité au Sénat.
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#Commencer #Voyage #Investiture
Selon des sondages réalisés par NBC et McLaughlin & Associates, après le 6 janvier, 87% des électeurs républicains soutiennent toujours Trump. 80 % des électeurs de Trump sont peu enclins à voter pour un membre du Congrès qui est en faveur de la destitution de Trump. Et 60 % des gens aux États-Unis pensent que c'est un gaspillage d'argent que de destituer un président sortant.
Il est par conséquent peu surprenant que sur les 74 millions d'Américains qui ont voté pour Trump, au moins 80 % d'entre eux soutiennent toujours Trump. Force est de le constater, président ou non, destitué ou non, Trump a toujours une influence considérable sur la politique américaine.
Le Washington Post a rapporté que Trump envisageait de former un nouveau parti. Si c’est le cas, la structure politique bipartite des États-Unis va se désintégrer. Quoiqu’il en soit, il est fort possible que Trump n’ait pas fini de faire parler de lui. Après tout, comme il l’a dit lui-même : « Notre incroyable voyage ne fait que commencer ».
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