13 mars 2023 Mondialisation : un monde à deux vitesses - Politique & Éco n°380 avec Pierre Jovanovic - TVL
- En guise d’apéritif, la revue de presse avec Pierre Jovanovic, éditorialiste économique, commence par la folie des insectes dans notre alimentation, nouvelle lubie de la davocratie : la viande, c’est vilain et pas bon pour la planète !
Mais qu’on se rassure, les meilleurs cuisiniers continueront de régaler ces messieurs et dames dans leurs réunions mondialistes.
- Pendant ce temps, Rolls-Royce n’a jamais vendu autant de voiture depuis 118 ans aux dires de son directeur. Ainsi nous dit-on jamais que le CAC 40 avait atteint son plus haut historique. De même, le chômage est en baisse, les raisons de s’en réjouir sont tempérées par cette explication : seules les catégories A sont bénéficiaires.
- En France, les dirigeants des banques nous disent que tout va bien : BNP et Société Générale ont repris le chemin des bénéfices grâce à l’inflation et à la hausse des taux, mais leur équilibre reste sujet à caution. Cet état de fait se vérifie sur une série de banques en ligne ou d’autres en grand péril, les baltringues banques selon le mot de Pierre Jovanovic. Emblématique est le cas d’Orange Bank en voie de rachat.
- Mais qu’on se rassure, les banques vous menacent de Tracfin pour les petits dépôts. Pour les grosses sommes, c’est tapis rouge, commissions obligent.
- Et le scandale FTX continue de dérouler ses péripéties surréalistes tandis que Crédit Suisse ébranle le système bancaire tout entier. Quant aux médias de grand chemin, ils continuent de nous désinformer.
Tout va bien !
Rappelez vous que le clan de Davos avec le vieux cacochyme Klaus Schwab que le modèle chinois est leur fil conducteur.
Enquête sur l’effroyable système concentrationnaire chinois, pivot du pouvoir communiste depuis quatre-vingts ans. Cette seconde partie met au jour la surveillance généralisée dans la Chine du XXIe siècle, où chacun peut être enfermé au "laogai", transformant le pays en une "immense prison".
Si la mort de Mao marque une rupture, l’espoir suscité par la politique de libéralisation de Deng Xiaoping ne dure pas. Les dazibaos du mur de la Démocratie à Pékin sont rapidement remplacés par des publicités, avant une énième vague d’arrestations – démocrates, délinquants présumés, jeunes urbains, chômeurs –, rappelant que la machine totalitaire perdure. Quelque 10 000 personnes sont exécutées entre octobre 1983 et avril 1984, et le laogai se remplit à nouveau. Un temps épargnés, les étudiants organisent des manifestions prodémocratiques, jusqu’au massacre de Tian’anmen en juin 1989. À l’aube des années 1990, la Chine compte plus de deux mille camps. À l’heure où le capitalisme d’État encourage l’enrichissement, les produits exportés en Occident sont tachés du sang des prisonniers. Accusés de dérive sectaire, les adeptes du Falun Gong constituent ensuite les nouvelles cibles. En 2012, Xi Jinping, dont le père a été persécuté – ainsi qu'il le sera ensuite lui-même, à l’adolescence –, prend la tête du Parti, avant d’éliminer ses rivaux sous couvert de lutte anticorruption. Les candidats à la dissidence sur le Net et les réseaux sociaux sont traqués, et une répression massive s'abat bientôt sur les minorités ethniques : Ouïghours, Kazakhs, Kirghizs…
"Une immense prison"
Au XXIe siècle, le système de répression mis en place par Mao a été modernisé, à grand renfort de caméras, d’algorithmes et d’intelligence artificielle. Entrelaçant archives, dont celles de la propagande, et dessins représentant la réalité intérieure des camps, ce documentaire s’appuie sur les récits poignants d’anciens prisonniers, aujourd’hui exilés, et d’enfants de victimes. Ces femmes et ces hommes racontent les humiliations, les violences subies et les méthodes de déshumanisation. Une immersion glaçante au cœur de la machine totalitaire chinoise.
Documentaire de Tania Rakhmanova (France, 2021, 1h)
28 mars 2023
Après avoir rappelé à l'EMA qu’elle est a eu un rôle trop favorable pour les laboratoires, je lui lis le témoignage d’une jeune fille qui a dû se faire vacciner pour être infirmière et victime d’effets secondaires. Énième victime classée dans un fichier Excel et dont l'EMA se fiche.