Une banque centrale suisse des monnaies numériques et la monnaie mondiale ? C’est pour 2022 ! Grand Reset et Davos pour l’anti-synarchie. Les pompiers pyromanes de l’économie ! Pour diffuser ses influences infernales et s'assurer la domination sur les peuples matérialistes dont il possédera les âmes, l'antéchrist a besoin d'un support. Ce support est la parodie de monnaie qu'est le monnaie numérique mondiale (Phoenix) dans les cartons de la BCRI des Rothschild en Suisse. Alors que la monnaie traditionnelle diffuse des influences métaphysiques et spirituellement bonnes, l'anti-monnaie moderne diffuse des influences physiques et spirituellement infernales. L'enfermement de l'histoire dans un temps coupé de toute réalité transcendante prend forcément une dimension satanique. Elle explique la chute du monde moderne : comme l'écrit Jean-Pierre Laurant, « l'histoire affirmant son autonomie [dans la sphère du temporel] et la liberté de l'homme dans une création continue faite par lui » devient « le Mal [qui désormais devient] le véritable moteur de l'histoire ». L'humanité devient son propre mal, sa propre négation, et en s'attaquant à elle-même ne peut réduire les sociétés qu'à des collections d'individus, individus en proie au matérialisme mais aussi aux influences infernales qui dissolvent tout : biens et âmes. Cette emprise du mal s'accompagne d'une dégradation de l'environnement qui devient saturé d'images négatives : par exemple, la monnaie - autrefois couverte de signes symboliques - devient une simple valeur d'échange dont la valeur quantitative même peut disparaître très rapidement (par l'inflation). Les matériaux nobles (bois, pierre) disparaissent au profit de métaux attachés au « feu souterrain » associé au « monde infernal » dont l'utilisation, d'après les civilisations traditionnelles, peut-être bénéfique mais aussi très maléfique si utilisée sans contrôle spirituel (d'où l'importance de la science sacrée de la métallurgie). Tout cela a un impact considérable sur la psychologie collective (et Guénon dans son ouvrage "Le règne de la quantité" reprend une nouvelle fois des idées de Gustave Le Bon et du roman "Nous autres" d'Eugène Zamiatine où les êtres humains vivent comme dans des ruches sous un régime totalitaire, sans les citer explicitement) : uniformisation mondiale des modes de vie écologiquement impossibles, nivellement par le bas des savoirs et des comportements, désir effréné de transparence qui pousse à exposer sa vie privée à la vue de tous (en opposition avec l'importance du secret dans le domaine du sacré) sur les réseaux sociaux, etc. C'est ce monde qui est promis à sa fin proche et avec lui celle de la race blanche, née de la civilisation occi ... https://www.youtube.com/watch?v=zqf7DHd0B-U