Au moins un millier d'étudiants se sont rassemblés à Athènes le 25 janvier pour protester contre le projet du gouvernement d'autoriser les universités privées à opérer en Grèce. Le gouvernement affirme que cette proposition permettra aux étudiants grecs de rester dans le pays et empêchera les jeunes talents de partir à l'étranger pour y trouver du travail. Ses détracteurs affirment que ces mesures auront un effet négatif sur les universités publiques, qui, selon eux, ont besoin de plus de fonds. La manifestation aurait été suivie non seulement par des étudiants, mais aussi par des enseignants et des employés d'établissements d'enseignement.

Certains pays ont exprimé leur soutien à l'Afrique du Sud, tandis que d'autres, dont la France, ont pris le parti d'Israël. L'Allemagne a déclaré vouloir jouer le rôle de tierce partie dans ce procès, tout en rejetant les accusations de génocide. Le ministère russe des Affaires étrangères a indiqué que Berlin était prêt à épauler Israël sans en mesurer les éventuelles conséquences. Tel-Aviv, pour sa part, nie toutes les accusations, trouve la position de l'Afrique du Sud hypocrite et affirme que c'est le Hamas qui a commis un génocide le 7 octobre en Israël. La CIJ a précisé que sa décision préliminaire serait bientôt rendue, mais qu'en raison de la gravité des accusations, un verdict final sur un éventuel génocide pourrait prendre des années. David Antonelli, conférencier et président de l'association Corse-Israël, et Michel Fayad, analyste politique et financier, partagent leurs points de vue sur la question.