Fais attention Ben, Charlie arrive ( film western ) avec Giuliano Gemma, George Eastman, Vittorio Congia
Fais attention Ben, Charlie arrive
Giuliano Gemma, George Eastman, Vittorio Congia
Après avoir participé à un hold-up et avoir évité de justesse la pendaison, Charlie s'enfuit en plein désert avec son complice Ben. Poursuivis par les autorités, les deux bandits s'associent avec trois autres cow-boys pour conserver leur butin.
Les Traqués de l'an 2000 (Turkey Shoot) est un film australien réalisé par Brian Trenchard-Smith, sorti en 1982.
synopsis
Dans un futur proche (en 1995 ! ) sous un régime totalitaire, la chasse aux « déviants » est ouverte. Que vous soyez à peine soupçonné de prostitution, ou bien que vous vous exprimiez un peu trop librement, vous aurez droit au camp de rééducation. Au programme de l'établissement : séances de torture, gardiens sadiques et même organisation de chasse à l'homme.
Données clés
Titre original Turkey Shoot
Réalisation Brian Trenchard-Smith
Scénario Jon George
Neill D. Hicks
Acteurs principaux
Steve Railsback
Olivia Hussey
Michael Craig
Sociétés de production FGH
Filmco Limited
Hemdale Film
Pays d’origine Drapeau de l'Australie Australie
Genre Action - Science-fiction
Durée 93 minutes
Sortie 1982
Les Planqués du régiment est un film français réalisé par Michel Caputo, sorti en 1983.
SYNOPSIS
Un jeune savant inventeur d'une bombe révolutionnaire doit dissimuler ses secrets de fabrication aux agents du K.G.B. Pour déjouer des poursuivants, il se mêle au contingent d'une récente incorporation. La caserne est dirigée par un colonel paternaliste et un adjudant autoritaire, Badubec. Quant aux soldats, cela va de l'obèse servile à l'homosexuel extraverti en passant par le punk alcoolique et le play-boy de banlieue.
Fiche technique
Titre français : Les Planqués du régiment
Réalisation : Michel Caputo
Scénario : Michel Caputo
Pays d'origine : France
Genre : comédie
Date de sortie : 1983
Distribution
Paul Préboist : le colonel
Jacques Préboist : le général
Franck Capillery : Ferdinand
Pauline Lafont : Christiane, l'infirmière
Élisabeth Lafont : la patronne du café
Pierre Doris : le médecin-chef
Michel Modo : adjudant Badubec
Paul Bisciglia
Jean Cherlian
Dominique Delpierre
Marcel Gassouk : le père de Sylvie
Isabelle Nanty
Jacqueline Noëlle
Ticky Holgado : le militaire qui vient chercher des fleurs pour le maréchal Mégalo
Le Bras de fer (Over the Top) est un film américain réalisé par Menahem Golan, sorti en 1987
Lincoln Hawk est un très modeste routier pratiquant le bras de fer. Son ex-femme Christina Cutler-Hawk est issue d'une famille bourgeoise ayant rejeté Lincoln. Gravement malade, cette dernière lui demande de s'occuper de leur fils Michael qu'il n'a pas vu depuis dix ans. Michael, dont l'enfance a été marquée par une éducation stricte et bourgeoise transmise par son grand-père, va découvrir son père en faisant la route avec lui dans son camion. Au départ, une vaste frontière idéologique sépare le père et le fils. Mais à travers les étendues désertiques, les deux finissent par se rapprocher. Mais le grand-père de Michael, jugeant Lincoln indigne et craignant pour son petit-fils décide de tout faire pour le récupérer. Parallèlement à tout cela, Lincoln a l'intention de participer au tournoi international de bras de fer se déroulant prochainement à Las Vegas, dont le vainqueur remportera 100 000 dollars et un camion flambant neuf...
Equalizer 2 ou Le Justicier 21 au Québec (The Equalizer 2) est un film d'action américain réalisé par Antoine Fuqua, sorti en 2018. Il s'agit de la suite d’Equalizer du même réalisateur, sorti en 2014.
Il s'agit d'une adaptation de la série télévisée américaine Equalizer, diffusée sur CBS de 1985 à 1989.
Robert McCall, un agent des services secrets américains à la retraite, travaille comme chauffeur de VTC à Boston. Lorsqu'il apprend que son amie Susan Plummer a été assassinée par un groupe de criminels. Ayant une dette envers elle, il décide de reprendre les armes et de venger sa mort. L'assassinat aurait un lien avec les événements qu'il a vécus quatre ans auparavant.
Je sais rien, mais je dirai tout est une comédie française réalisée par Pierre Richard en 1973.
Pierre Gastié-Leroy (Pierre Richard) est le fils du richissime directeur d'une usine de fabrication d'armes (Bernard Blier). Malgré ses parents, deux oncles généraux et un parrain évêque qui essayent de lui inculquer les valeurs rigides de son niveau social, Pierre est un doux rêveur, antimilitariste, éducateur social qui rêve de sauver trois jeunes voyous (Luis Rego, Georges Beller et Didier Kaminka), ses « p'tits gars » à la limite de la délinquance.
Après plusieurs échecs retentissants qui l'ont conduit en prison, Pierre est sommé par son père d'entrer dans son usine afin d'en diriger le service social. Fatigué par la vénalité de son père et les bêtises des « p'tits gars », Pierre les fait embaucher à l'usine. Ils s’amusent à y semer la zizanie, en faisant de l’excès de zèle pour convaincre les contremaîtres d’augmenter les cadences de travail, en dénonçant les meneurs syndicaux, en déjouant une grève et, finalement, en volant 500 chars pour les revendre au marché noir. Une démonstration de nouveaux missiles télécommandés en présence du ministre de la Défense tourne au fiasco.
Blessé dans son orgueil, Gastié-Leroy père veut montrer la fiabilité de son produit et dirige inconsciemment le tir vers sa propre usine à l'ineffable bonheur de Pierre.
L'Épée enchantée (The Magic Sword) est un film américain réalisé par Bert I. Gordon, sorti en 1962.
Synopsis
Georges(Gary Lockwood) est le fils de la sorcière Sybile(Estelle Winwood). Elle le garde sous sa protection magique chez elle jusqu'au jour où Georges qui approche de son 21e anniversaire (majorité) fait la connaissance de la belle princesse Hélène(Anne Helm). La princesse se fait enlever par le diabolique sorcier Lodac. Georges avec l'aide d'une armure magique et six chevaliers sortis d'un sortilège, part à la recherche de la princesse pour la sauver des griffes de Lodac... Mais sept épreuves maléfiques attendent nos valeureux chevaliers... Sir Georges réussira-t-il malgré les nombreux pièges mis sur sa route
Fiche technique
Titre : L'Épée enchantée
Titre original : The Magic Sword
Réalisation : Bert I. Gordon
Scénario : Bert I. Gordon et Bernard C. Schoenfeld
Production : Bert I. Gordon
Musique : Richard Markowitz
Photographie : Paul Vogel
Montage : Harry Gerstad
Direction artistique : Franz Bachelin
Pays d'origine : États-Unis
Format : Couleurs - 1,85:1 - Mono - 35 mm
Genre : Aventure, fantastique
Durée : 80 minutes
Dates de sortie : 26 février 1962 (Danemark), avril 1962 (États-Unis), 25 avril 1962 (France)
Interdit aux moins de 13 ans à sa sortie salles (interdiction lévée depuis longtemps
Distribution
Basil Rathbone (VF : Abel Jacquin) : Lodac
Estelle Winwood (VF : Germaine Kerjean) : Sybil
Gary Lockwood (VF : Michel Cogoni) : Sir George
Anne Helm (VF : Arlette Thomas) : la princesse Hélène
Liam Sullivan : Sir Branton
Danielle De Metz : Mignonette
Merritt Stone : le roi
Jacques Gallo : Sir Denis de France
David R. Cross : Sir Pedro d'Espagne
John Mauldin : Sir Patrick d'Irlande
Taldo Kenyon : Sir Anthony d'Italie
Angus Duncan : Sir James d'Écosse
Leroy Johnson : Sir Ulrich d'Allemagne
Marlene Callahan : la princesse Grace
Nick Bon Tempi : le siamois de gauche
Paul Bon Tempi : le siamois de droite
Ann Graves : la princesse Laura
Lorrie Richards : Anne
Jack Kosslyn : l'ogre
Maila Nurmi : la sorcière
La Table-aux-crevés est un film français réalisé par Henri Verneuil, sorti en 1951
Frédéric Gari est arrêté pour contrebande de tabac. Il jure de se venger de celui qui l'a trahi quand il sortira de prison. Le même jour, Urbain Coindet, fermier et conseiller municipal de Cantagrel, trouve à son retour du marché sa femme Aurélie pendue. Les nouvelles vont vite et son beau-père fait courir le bruit que c'est Urbain l'assassin. Capucet, ivrogne, mais représentant de la loi, décide d'ouvrir une enquête que le curé arrête bien vite, car elle provoque une certaine effervescence dans le petit pays, d'autant plus qu'Urbain fait à nouveau la cour à une belle et jeune femme, Jeanne Gari, la sœur du contrebandier. Le village est partagé en deux clans, qui s'affrontent autant sur le plan local, que sur celui de la politique. Républicains et cléricaux basent leur campagne sur l'innocence ou la culpabilité d'Urbain. Grâce à Victor, on finira par découvrir que c'est Capucet le coupable involontaire de cette mésentente.
Kamikaze est un film français réalisé par Didier Grousset, sorti en 1986.
Synopsis
Albert (Michel Galabru), scientifique misanthrope, est limogé de son poste de chercheur, ce qui ne fait que renforcer son caractère asocial. Désœuvré, habitant chez sa nièce et son mari dans une grande maison retirée du monde, passant ses journées et ses nuits devant la télévision, il développe un sentiment de haine à l'égard des présentatrices de télévision, les speakerines du petit écran.
Pour en finir avec elles, il a mis au point un canon à micro-ondes à retour de faisceau. En injectant une grande puissance dans son engin, il parvient à remonter le signal propagé, entre son antenne individuelle de télévision jusqu'à l'antenne émettrice, puis à remonter toute la chaîne électromagnétique jusqu'à la caméra du direct. Le signal termine alors sa course en focalisant sur la présentatrice, qui explose en direct. La Police française se met sur-le-champ à mener l’enquête pour retrouver le tueur, bien qu'elle n'ait au début aucune piste pour expliquer la mort des speakerines (en effet, il n'y a même pas de projectiles employés pour tuer les victimes).
L'inspecteur Romain Pascot (Richard Bohringer) et son équipe d’enquêteurs arrivent, à force de tâtonnements, et ensuite accompagnés de scientifiques renommés, à trouver la trace de l'assassin. Celui-ci, dans sa folie grandissante, abat sa nièce et son époux. Jusqu'au jour où l'inspecteur Pascot remonte la piste jusqu'au domicile d'Albert, mais au moment de l’arrêter, se fait doubler par des "barbouzes" qui exécutent Albert au "nom de la raison d'État".
Fiche technique
Titre : Kamikaze
Réalisation : Didier Grousset
Scénario : Didier Grousset, Luc Besson et Michèle Pétin
Musique : Éric Serra
Photographie : Jean-François Robin
Montage : Olivier Mauffroy
Costumes : Magali Guidasci
Production : Luc Besson, Louis Duchesne et Laurent Pétin
Pays d'origine : Drapeau de la France France
Format : couleurs - 2,35:1 - Dolby - 35 mm
Genre : science-fiction
Durée : 90 minutes
Date de sortie1 :
France : 10 décembre 1986
Distribution
Richard Bohringer : Romain Pascot
Michel Galabru : Albert
Dominique Lavanant : Laure Frontenac
Romane Bohringer : Julie
Étienne Chicot : Samrat
Harry Cleven : Patrick
Riton Liebman : Olive Mercier
Kim Massee : Lea
Michael Goldman : Trevor
Geoffrey Carey : Stone
Charles Gérard : le flic
Philippe Girard : Pelletier
Vincent Skimenti : Hervé
Philippe Landoulsi : Guy
Jean-Paul Muel : le ministre
Beate Kopp : Béate / Pietrochka
Basile de Bodt : le scientifique au listing (crédité Basile)
Éric Averlant : Iceberg fils
Jacques Japaud : Iceberg père
René Loyon : le PDG TV
Laurent Spielvogel : réalisateur discours
Jean-François Henry : Le criminologue
Michel Pilorgé : Le journaliste TV #1
Gérard Boucaron : le rédacteur en chef
Pierre Belot : L'employé Hewlett Packard
Henri Delmas : Le technicien témoin
Jean-François Robin : Le technicien régie différée TV #1
Charles Schneider : Le technicien régie différée TV #2
Emmanuel Gust : Technicien régie / Studio peintre #1
Daniel Kenigsberg : Technicien régie / Studio peintre #2
Yannick Evely : Technicien régie / Studio peintre #3
Bernard Ballet : Le journaliste victime
Christine Amat : Huguette Tranchet, la première victime
Annick Fatigon : La speakerine du midi
Yolande Gilot : La speakerine du Ciné-Club
Blanche Ravalec : La speakerine #3 en différé
Nathalie Canion : La speakerine du matin (créditée Nathalie Canion-Gendron)
Jean-Philippe Chatrier : Le speaker
Arièle Semenoff : une présentatrice
Thierry Hay : Le peintre victime
Marie Vincent : Une mère à Conforama
Philippe Sfez : L'installateur à Conforama
Cécile Combe : La jeune fille au T-shirt
Bernard Leroux : Le patron de la boite de nuit
Lionel Robert : L'animateur radio Bip FM
Serge Delanoue : technicien compte à rebours ( non crédité )
Borsalino and Co. est un film franco-italo-allemand réalisé par Jacques Deray, sorti en 1974, suite du film de 1970, Borsalino. Le film a été restauré par Pathé Production en 2013.
Synopsis
Roch Siffredi, chef de gang très en vue à Marseille, vient d'ouvrir un établissement somptueux qui lui promettrait des jours heureux dans cette ville s'il ne venait d'enterrer son ami et associé François Capella à la fin du premier Borsalino. Il jure de le venger. Il apprend qu'un certain Giovanni Volpone, récemment arrivé à Marseille, est à l'origine du meurtre. Le commissaire Fanti passe voir Siffredi après la mort de Capella. Il constate la réussite du truand et admire le nouvel établissement : il a une certaine estime pour Roch, mais quand des évènements agitent le milieu, sa politique est de laisser les truands s'entretuer ! Il informe cependant Siffredi que Volpone est un homme dangereux : le gangster italien, semble avoir des ambitions sur la ville de Marseille; il a des moyens importants tant en hommes qu'en finances et des soutiens politiques efficaces dans la période qui précède la guerre. Volpone est en relation avec le fascisme international. Il a le projet de « nettoyer » la ville et d'en faire une base expérimentale pour préparer une ère nouvelle.
Roch apprend que le frère de l'Italien arrive à Marseille par le train et seul : il le tue en le précipitant hors du train. Les bandes de Siffredi et Volpone se croisent sur le quai à l'arrivée en gare de Marseille et Volpone sait que son frère n'arrivera plus : on le retrouvera sur le bord de la voie dans les jours qui suivent.
La guerre est déclarée avec l'Italien. Les représailles ne tardent pas ! Siffredi a sous-estimé Volpone : celui-ci organise une vaste opération qui anéantit la bande de Roch et met la main sur le bordel du truand marseillais. Roch est lui-même pris par les hommes de l'Italien. Seul Fernand, jeté à la mer avec une pierre aux pieds, en réchappe in extremis.
Volpone anéantit le gang de Siffredi, contraint sa femme à se prostituer dans un de ses bordels. Le commissaire Fanti est remplacé par Cazenave, à la solde des fascistes. Volpone fait subir à Roch une cure « d'intoxication à l'alcool » jusqu'à en faire une épave qu'il livre en pâture aux journalistes, puis il le fait interner dans un hôpital psychiatrique. Roch est sevré de l'alcool, mais il n'est plus seulement humilié : il est psychologiquement affaibli. Fernand, son fidèle ami, s'acharne à le retrouver et n'a en tête que de le sortir de cette prison : il se fait embaucher dans une entreprise de menuiserie et peut pénétrer dans l'hôpital, qui ressemble à une forteresse.
Roch s'évade alors grâce à son ami, mais ils ne peuvent pas rester à Marseille. C'est le départ, par bateau, pour l'exil en Italie. Trois ans après, Siffredi a retrouvé ses moyens, sa santé et a reconstitué une bande. Avec Fernand, ils reviennent, occupent une ancienne demeure de Roch aussi discrète que luxueuse et, en quelques jours, ils libèrent Lola, détruisent le pouvoir de Volpone et son empire en employant des méthodes qui sont celles de la mafia : la gâchette et les explosifs fonctionnent à tout-va !
Mais Cazenave n'est pas à la hauteur et Volpone se trouve seul cette fois-ci face à Siffredi, qui prend l'initiative des actions : Fanti est rappelé quand on retrouve Cazenave et Sam, le second de Volpone, gavés d'alcool dans un bar, tenant des propos fascistes en présence des journalistes qui précèdent la police. Les autorités de l'État ne soutiennent plus Volpone : les temps ont changé et le personnage est encombrant. Fanti préconise de « laisser faire » les gangs : Volpone finit dans la chaudière du train qui l'emmène en Allemagne où il allait retrouver ses appuis. Roch a éliminé son adversaire et peut reprendre sa place, mais il ne se sent plus chez lui à Marseille et s'embarque pour les États-Unis en compagnie de son amie Lola et de son gang.
Données clés
Réalisation Jacques Deray
Scénario Jacques Deray
Pascal Jardin
Acteurs principaux
Alain Delon
Riccardo Cucciolla
Jacques Debary
André Falcon
Sociétés de production Adel Productions
Comacico
Medusa Produzione
Pays d’origine Drapeau de la France France
Drapeau de l'Italie Italie
Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Genre Policier
Durée 100 minutes
Sortie 1974