Un OVNI Vaisseau-mère lâche des OVNIS sphériques qui évoluent lentement vers le sol, un peu comme s'ils tombaient au ralenti, ce qui n'est pas sans me faire songer à deux autres séquences, l'une où l'on observe 3 sphères tomber lentement du ciel, comme s'il s'agissait d'un ralenti, l'autre où l'on observe une sphère tomber lentement du ciel, comme s'il s'agissait d'un ralenti. Pour ma part, je relie 3 séquences, filmées depuis des points de vues et des distances différentes. A UFO Mothership releases spherical UFOs that move slowly towards the ground, as if they were falling in slow motion, which is not without making me think of two other sequences, one where we observe 3 spheres falling slowly from the sky, as if it were a slow motion, the other where one observes a sphere falling slowly from the sky, as if it were a slow motion. For my part, I connect 3 sequences, filmed from different points of view and distances. https://odysee.com/@actuplus11:9/OVNIS_UFO_3sphere_descente_lente:2 https://odysee.com/@actuplus11:9/ovni_sphere_lente_descente:d

Les mythes maliens parlent d'hommes pouvant vivre sur terre et dans l'eau, il s'agit des Abgal, des êtres sages du peuple "reptilien". Ces deux personnages ressemblent à Wa, un des 2 enfants abgal de Sophia, la Mère des Origines, qui donna aussi naissance aux premiers Gina'abul et au premier Kingù Babbar, celui dont on ne prononce pas le nom, le fils du chaos (enfant de Sophia la Musidim et d'un Kingalam, blessé, dont elle ne pu se retenir de goûter le sang car il était d'une couleur bleu électrique... Juste quelques gouttes, dont elle pondit un oeuf car elle est ovipare...). King... alam, et King... ù Babbar. Pour en savoir plus, il faut lire les livres d'Anton et Hanael Parks, essais et Chroniques. Malian myths speak of men who can live on land and in water, they are the Abgal, wise beings of the "reptilian" people. These two characters resemble Wa, one of the 2 abgal children of Sophia, the Mother of origins, who also gave birth to the first Gina'abul and the first Kingù Babbar, the one whose name is not pronounced, the son of chaos (child of Sophia la Musidim and a Kingalam, wounded, whose blood she could not refrain from tasting because he was an electric blue color... Just a few drops, of which she lays an egg because she is oviparous...). King... alam, and King... ù Babbar. To learn more, read Anton and Hanael Parks' books, Essays and Chronicles.