Arthur découvre qu'il est également appelé «le Sanglier de Cornouailles». Le fautif est Merlin qui avait décidé de le nommer ainsi pour on ne sait quelle raison. Pour le «remercier», Arthur lui en trouve un aussi...
Perceval présente un autre jeu du Pays de Galles: le sloubi. Ce jeu est présenté par Perceval comme "un truc qui se joue vite", mais il nécessite des centaines de bouts de bois, ou alors un nombre incalculable de dés, et dure finalement toute la soirée et déborde sur la nuit.
Arthur est las de voir ses hommes se battre mollement, et décide donc de faire envoyer par Merlin un sort de rage pour « remuer » ses troupes. Le sort touche aussi les troupes adverses et, très vite, les deux armées attaquent d’un commun accord Arthur et les chevaliers.
Alors que la Table ronde n’est que prétexte à bagarres et conflits, Arthur fait une déclaration sur la vraie nature du Graal : l’union des membres de la Table ronde pour un but commun. Ce discours remotive ses chevaliers, pour un temps, tout du moins.
Perceval et Karadoc en ont gros ! Le Roi ayant refusé de chanter avec eux lors d'un banquet, les deux compères viennent lui demander des comptes en plein milieu de la nuit.