Le film, réalisé par Martin Durkin et Tom Nelson, comprend des entretiens avec un certain nombre de scientifiques de premier plan, notamment les professeurs Steven Koonin, Dick Lindzen, Will Happer, Nir Shaviv, ainsi que le lauréat du prix Nobel, le Dr John Clauser et d'autres académiciens. Il expose l’alarme climatique comme une alerte inventée sans aucun fondement scientifique. Il montre que les études traditionnelles et les données officielles ne soutiennent pas l’affirmation d’une augmentation des événements météorologiques extrêmes, tels que les ouragans, les sécheresses, les vagues de chaleur, les incendies de forêt et tout le reste. Cela contredit l’affirmation selon laquelle les températures et les niveaux actuels de CO2 atmosphérique sont inhabituellement et inquiétants. Au contraire, c’est très clairement le cas, comme le montrent toutes les études mainstream ; que, par rapport au dernier demi-milliard d’années de l’histoire de la Terre, les températures actuelles et les niveaux de CO2 sont extrêmement et inhabituellement bas, et que nous sommes actuellement dans une période glaciaire. Cela montre également qu’il n’existe aucune preuve que les changements fréquents des niveaux de CO2 aient jamais "entraîné" le changement climatique dans le passé. Le film explore la nature du consensus derrière le changement climatique. Il décrit les origines du mouvement de financement climatique et la montée en puissance de l’industrie climatique qui pèse des milliers de milliards de dollars. Cela explique l’énorme pression exercée sur les scientifiques et autres pour qu’ils ne remettent pas en question l’alarme climatique : le retrait des fonds, le rejet par les revues scientifiques et l’ostracisme social. Le film explore la politique de la peur climatique et la division politique tacite qui la sous-tend. Dès le début, l’alarme climatique a attiré les groupes favorables à un gouvernement plus important, en particulier tous ceux qui font partie de l’establishment tentaculaire financé par l’État. C’est pourquoi on nous répète sans cesse que le "changement climatique catastrophique provoqué par l’homme" est un fait irréfutable ; qu'il n'y a aucune preuve qui le contredit ; et que quiconque remet en question le "chaos climatique" est un "platiste" et un "négationniste de la science."