Le docteur Larry Pavlesky rappelle que lors de ses études de médecine, on lui a appris à penser de manière critique. A ce titre, il s'interroge sur les affirmations qui entourent l'administration des vaccins. Il insiste sur le fait que nombre de ces affirmations ne reposent sur aucune évaluation scientifique et que dès lors que l'on commence à se poser les bonnes questions, on constate que les "vérités" établies sont battues en brèche, en particulier celles portant sur la protection soi-disant conférée par les vaccins, la non transmission de l'agent pathogène et l'élimination de la surface de la terre des agents pathogènes grâce à la vaccination. En fait, il n 'en est rien. De même, l'affirmation selon laquelle les enfants non vaccinés sont les uniques porteurs et transmetteurs de virus ou de bactéries est également fausse, la vaccination de masse provoquant en réalité une adaptation des virus et bactéries, portées aussi bien par les personnes vaccinées que non vaccinées. Il regrette qu'aucune évaluation sérieuse ne soit faite sur les effets de l'adjonction des nanoparticules d'aluminium capables de franchir la barrière hémato-encéphalique et de se maintenir dans le cerveau alors que l'on connaît la toxicité de ce métal. Il n'hésite pas à faire un lien entre les troubles neurologiques qui touchent les enfants (autisme) mais aussi les adultes (Alzheimer) et la présence des nanoparticules d'aluminium dans le cerveau. En outre, il précise que la présence de l' émulsifiant "polysorbate 80" dans les vaccins facilite la dispersion des nanoparticules d'aluminium dans l'ensemble du corps et leur permet de franchir la barrière hémato-encéphalique. De même, l'adjonction dans les vaccins d'un autre produit chimique appelé 2-phénoxyéthanol, qui n'est ni plus ni moins qu'un détergent, perturbe la santé des membranes cellulaires du corps et participe à la pénétration de l'aluminium dans le cerveau mais aussi à l'émergence de maladies inflammatoires.

La Chine est en train de se positionner comme un médiateur dans le conflit qui oppose la Russie à l'Ukraine. Elle va endosser l'habit de négociateur qu'aurait dû tenir la France si elle n'avait pas à sa tête un psychopathe dangereux. Zelensky vient de se rendre en Turquie, où Erdogan plaide également pour des accords de paix. Si par bonheur, les russes et les ukrainiens, sous l'égide de la Chine et de la Turquie parvenaient à un accord de paix, ils couperaient en même temps l'herbe sous le pied du psychopathe de l'Elysée et qui une nouvelle fois serait la risée du monde. Les progrès sensibles de l'armée russe enregistrés ces derniers jours pourraient être décisifs dans la mesure où Zelensky, s'il ne négocie pas, pourrait tout perdre.