Retour sur l'intervention de Rémi Salomon, président de la commission médicale d’établissement de l’Assistance Publique Hôpitaux de Paris, ce pseudo néphrologue anti-technocratie, qui avait fait un tollé incroyable le 24 Novembre dernier. Odysee : https://odysee.com/@adbktv:f
Rien n'est définitivement joué dans l'élection présidentielle américaine 2020!
Donald Trump savait que les Démocrates feraient tout pour l'empêcher de gagner et le chasser définitivement de la Maison Blanche de Washington, capitale des États-Unis.
Mais comme un excellent joueur ♟️♟️ d'échecs il avait bien mis au point sa tactique, avec plusieurs coups d'avance !
En effet le 12 septembre 2018 il a signé un Ordre Exécutif : "Décret exécutif sur l'imposition de certaines sanctions en cas d'ingérence étrangère dans une élection aux États-Unis".
Et ce décret était en vigueur lors du vote du 3 novembre 2020!? Décret disponible sur le site Whitehouse.gov : Executive Order on Imposing Certain Sanctions in the Event of Foreign Interference in a United States Election (Issued on: September 12, 2018).
Or nous savons maintenant que des logiciels informatiques ont été utilisés pour basculer des votes de Donald Trump en faveur de Joe Biden.
Je vous lis l'essentiel d'un article de Naturalnews.com trouvé sur le site Dcdirtylaundry. com :
BOMBSHELL : The 2020 election took place under a Trump-declared " National Emergency" than set an Election Day trap for the "unauthorized accessing of election and campaign infrastructure. (C'est une bombe : Les élections de 2020 se sont déroulées dans le cadre d'une " urgence nationale" déclarée par Trump, qui a tendu un piège le jour du scrutin à "l'accès non autorisé à l'élection et à l'infrastructure de campagne".)
Ça va chauffer pour les Démocrates fraudeurs et leurs complices américains et étrangers ! ???
Depuis le 3 novembre et l'annonce de la "victoire" (???) de Joe Biden je pensais qu'un coup de théâtre allait se produire, et nous n'en sommes pas loin d'après cet article du 15 novembre 2020 écrit par Mike Adams.
En effet cet Ordre Exécutif signé par Donald Trump le 12 septembre 2018, en vigueur le jour de l'élection du 3 novembre 2020, va permettre de confondre tous les coupables à l'origine des fraudes massives.
Cela recoupe les informations données par Sydney Powell (voir la dernière vidéo de Croix du Sud sur YouTube).
Un jeune Français vivant aux États-Unis informe tous les jours de la situation concernant l'élection sur son site YouTube : Ze american dream. ?
Croisons les doigts pour que le piège de Donald Trump fonctionne totalement ! ???
Le lendemain du jour où le gouverneur Tim Walz a annoncé de nouveaux lockdown dans l'état du Minnesota, Michael Matt s'est adressé au rassemblement "Stuff Your Mandate" devant le manoir du gouverneur. Michael aborde les questions de la Grande Restitution et du plan à long terme qui sous-tend les mesures d'enfermement et la guerre actuelle contre les libertés civiles en Amérique et dans le monde.
Rien n'est définitivement joué dans l'élection présidentielle américaine 2020!
Donald Trump savait que les Démocrates feraient tout pour l'empêcher de gagner et le chasser définitivement de la Maison Blanche de Washington, capitale des États-Unis.
Mais comme un excellent joueur ♟️♟️ d'échecs il avait bien mis au point sa tactique, avec plusieurs coups d'avance !
En effet le 12 septembre 2018 il a signé un Ordre Exécutif : "Décret exécutif sur l'imposition de certaines sanctions en cas d'ingérence étrangère dans une élection aux États-Unis".
Et ce décret était en vigueur lors du vote du 3 novembre 2020!? Décret disponible sur le site Whitehouse.gov : Executive Order on Imposing Certain Sanctions in the Event of Foreign Interference in a United States Election (Issued on: September 12, 2018).
Or nous savons maintenant que des logiciels informatiques ont été utilisés pour basculer des votes de Donald Trump en faveur de Joe Biden.
Je vous lis l'essentiel d'un article de Naturalnews.com trouvé sur le site Dcdirtylaundry. com :
BOMBSHELL : The 2020 election took place under a Trump-declared " National Emergency" than set an Election Day trap for the "unauthorized accessing of election and campaign infrastructure. (C'est une bombe : Les élections de 2020 se sont déroulées dans le cadre d'une " urgence nationale" déclarée par Trump, qui a tendu un piège le jour du scrutin à "l'accès non autorisé à l'élection et à l'infrastructure de campagne".)
Ça va chauffer pour les Démocrates fraudeurs et leurs complices américains et étrangers ! ???
Depuis le 3 novembre et l'annonce de la "victoire" (???) de Joe Biden je pensais qu'un coup de théâtre allait se produire, et nous n'en sommes pas loin d'après cet article du 15 novembre 2020 écrit par Mike Adams.
En effet cet Ordre Exécutif signé par Donald Trump le 12 septembre 2018, en vigueur le jour de l'élection du 3 novembre 2020, va permettre de confondre tous les coupables à l'origine des fraudes massives.
Cela recoupe les informations données par Sydney Powell (voir la dernière vidéo de Croix du Sud sur YouTube).
Un jeune Français vivant aux États-Unis informe tous les jours de la situation concernant l'élection sur son site YouTube : Ze american dream. ?
Croisons les doigts pour que le piège de Donald Trump fonctionne totalement ! ???
Parlons d'un article paru à l’hiver 2019, « Se préparer à une élection présidentielle contestée: un exercice d'évaluation et de gestion des risques électoraux »: https://lawecommons.luc.edu/cgi/viewc... Il a été écrit par Edward Foley, professeur et directeur du programme de droit électoral à l'Université de l'Ohio. Il est également avocat et contributeur au Washington Post. Bien que Foley se base à l’époque sur une candidature démocrate d’Elizabeth Warren, et non Joe Biden, son analyse s'est révélée incroyablement juste jusqu’à présent. Il avait prévu l’avance de Trump le soir de l’élection, puis le passage en tête de Biden après le comptage de bulletin de votes contestés, la bataille juridique et finalement l’envoi au congrès pour l’état de Pennsylvanie de 2 séries de votes électoraux. Alors voici comment, d’après son article de 2019, pourrait se passer la session du 6 janvier. Et le résultat est assez incroyable. Mike Pence préside la session en tant que président du Sénat, tel que spécifié par la Constitution. En commençant par l'Alabama et en continuant par ordre alphabétique, le comptage se déroule sans heurts jusqu’au premier état contesté. Pence annonce qu'il a reçu deux soumissions prétendant être les votes électoraux pour cet État et que selon le paragraphe 15 du titre 3 du code des Etats-Unis, il doit le soumettre à la fois au Sénat et à la Chambre pour un examen séparé. Le Sénat se retire donc de la chambre et vote pour accepter les votes électoraux en faveur de Trump, tandis que la Chambre vote simultanément pour accepter les votes en faveur de Biden. Lorsque le Sénat retourne à la Chambre pour la reprise de la session conjointe, Pence annonce qu’étant donné que les deux chambres ne sont pas d’accord, aucune des deux soumissions ne peut être comptée. Explosent alors des hurlements de protestations des démocrates dans la chambre, qui clament avec insistance que les votes électoraux portant le certificat du gouverneur doivent être comptés selon les termes du paragraphe 15 du titre 3 du code des Etats-Unis. Pence insiste. C’est alors que Nancy Pelosi se lève pour prendre la parole. Elle annonce que la réunion conjointe des deux chambres est suspendue, jusqu'à ce que Mike Pence soit prêt à modifier sa décision et à accepter les votes électoraux en faveur de Biden. Lorsque Pence insiste sur le fait que Pelosi n'a pas le pouvoir de suspendre les travaux de cette manière, Pelosi déclare qu'elle demandera au sergent d'armes de la Chambre des représentants de renvoyer de force les sénateurs de la Chambre à moins que les sénateurs ne partent volontairement. Afin d'éviter ce spectacle Pence accepte à contrecœur de conduire les sénateurs hors de la chambre. Nanci Pelosi reprend le contrôle de la Chambre, elle fait adopter une résolution pour suspendre le dépouillement des votes électoraux. Jusque-là, la Chambre ordonne à ses sergents d'armes d'interdire la réapparition de Pence ou de tout autre sénateur à la Chambre. Alors que Pelosi et les démocrates refusent de bouger, Pence et les républicains décident qu'ils doivent continuer le dépouillement des votes électoraux, même s'ils ne peuvent pas retourner à la Chambre. Il se base pour cela sur un article du code des Etats-Unis qui stipule que la session ne peut être arrêté tant qu’un président n’a pas été élu. Par conséquent, Pence invite les sénateurs et les représentants dans la salle du Sénat. Seuls les sénateurs et représentants républicains se présentent, à l'exception d'un sénateur démocrate désigné pour protester contre la prétendue poursuite de la procédure. Malgré les protestations du sénateur démocrate, Pence procède au décompte des voix électorales restantes, prenant en compte les votes favorables à Trump dans les états contestés. Il finit par annoncer que Trump a été réélu président avec une majorité de voix. Enfin, avec Pence et d'autres républicains à ses côtés, Trump annonce qu'il s'apprête à être investi pour un second mandat le 20 janvier. De son côté, Pelosi affirme qu'elle est prête à être investie et assermentée en tant que présidente par intérim, en prêtant le serment présidentiel spécifié à l'article II, jusqu'au dépouillement final des votes électoraux. Alors que l'horloge tourne vers midi le 20 janvier, tout Washington DC – et en fait toute l'Amérique, et le monde – attend de voir ce qui va se passer. Ni Trump ni Pelosi ne reculent. Tous deux insistent sur le fait qu'à midi le 20 janvier, ils prêteront le serment présidentiel et commenceront à affirmer leurs pouvoirs de commandant en chef. Tous deux exigent alors le plein soutien et l’obéissance des forces armées américaines. Et finalement Foley conclue son article sans trouver de réponses institutionnelles à cette impasse. Il finit en posant cette question : alors à qui obéira l’armée ?