Ce film, qu’elle présente comme un témoignage du quotidien de la «population russophone» de cette enclave de l’est de l’Ukraine, ne comporte ni commentaires, ni rappel des faits. Elle l’a réalisé lors de trois voyages de quinze jours, en 2015, dans différentes communes situées aux alentours de Donetsk et Louhansk (les deux «capitales» des républiques reconnues comme indépendantes par Vladimir Poutine le 21 février 2022, trois jours avant l’offensive russe en Ukraine). Soit en territoire «séparatiste».
Fritz Springmeier a tourné de nombreuses vidéos et donné plusieurs conférences portant notamment sur le projet de la CIA MK ULTRA de contrôle mental où il fait témoigner Cisco Wheeler, une victime de ces programmes. En 2003 Springmeier a été condamné à 9 ans de prison pour une prétendue implication dans un vol ayant eu lieu à Portland (Oregon) en 1997. Sa participation est sujette à controverse. Dans l'un de ses premiers livres intitulé The Watchtower & the Masons, Springmeier s'intéresse aux liens qui existeraient, entre les Témoins de Jéhovah et la Franc-maçonnerie. Il soutient que Charles Taze Russell, le fondateur de ce mouvement religieux, serait lié à la maçonnerie et à l'establishment politico-financier de la côte Est américaine. Par la suite, il élabore une théorie à propos de ceux qui, selon lui, contrôleraient vraiment le monde en s'appuyant sur de nombreux témoignages. Il nomme ces derniers les Illuminati qu'il associe à 13 familles qu'il nomme « bloodlines » (lignées de sang) dont il décrit la fortune et l'influence personnelle de chacun de ses membres. Présentées comme pratiquant une forme de satanisme, ces familles sont également accusées de pratiquer le contrôle mental. Selon Springmeier, ces 13 familles seraient les : Astor, Bundy, Collins, Dupont, Freeman, Kennedy, Li, Onassis, Reynolds, Rockefeller, Rotshchild, Russell et Van Duyn. Springmeier est convaincu que le pouvoir des symboles est suffisamment fort pour qu'un emploi massif et répétitif de ceux-ci soit capable de réduire l'humanité en esclavage. C'est pourquoi, selon Springmeier, le pouvoir politique emploie la culture de masse pour y distiller une forme d'imagerie symbolique liée à des programmes de contrôle mental. Springmeier pense que la technologie sur Terre est bien plus avancée qu'il n'y paraît, mais que l'élite ne la diffuse qu'au compte-goutte afin d'en garder le contrôle sur son utilisation et sa diffusion.
- Nouvelles révélations sur la corruption mondiale autour de la crise de la COVID19 : les entreprises qui en profitent avec notamment l'obscure start-up de Nicole Junckermann qui a effectué des investissements autour des bases de données sur la santé, la communication et l'intelligence artificielle :
- les applications médicales mobiles dont les alertes COVID dans de nombreux pays, les bases de données médicales qui sont gérées, en particulier les dossiers du NHS en Angleterre, comme les fichiers de la Sécurité Sociale française qui seront stockés et analysés par Microsoft depuis les USA