Le ciel a tout filmé
Louis, médecin réanimateur à Marseille, encore inconnu il y a quelques mois, réussira t-il à changer le monde ? Bonne lecture.
Le ciel a tout filmé est un collectif de réalisateurs, de graphistes et de passionnés d'images.
A travers nos productions, nous souhaitons porter un regard différent sur la crise que traverse notre société.
Le sociologue lance une alerte à tous : nous avons à faire face à une mortalité inédite et nous devons faire un moratoire sur cette vaccination.
Nouveau debriefing avec le sociologue et directeur de recherche au CNRS Laurent Mucchielli, pour un article important qu’il vient juste de publier sur son blog au sujet de la vaccination Covid. « Une mortalité inédite » titre-t-il.
FranceSoir
Un groupe de chercheurs de l’université de Jérusalem, a traduit L’ Ave Maria de Schubert chantée en Araméen (langue de Jésus et de Marie).
https://www.youtube.com/@myriamir3/featured
Émission du01/11/2021
Toujours et encore les taux d’intérêts négatifs et maintenant voilà l’inflation qui s’annonce ! Les banques ne pouvant pas gagner de l’argent avec des taux positifs, volent leurs clients et les épargnants, licencient du personnel, vendent les « bijoux de famille » (immobilier) suppriment les distributeurs automatiques de billets, fusionnent entre elles, monopoles en vue. Parmi les conséquences des taux négatifs eux-mêmes produits par la planche à billets (le QE) de Christine Lagarde, la démission fracassante du gouverneur de la Bundesbank (Banque fédérale d’Allemagne), Jens Weidman, opposé à la planche à billets lancée par Mario Draghi en 2015. Le torchon brule entre la BCE et la Bundesbank ! Bernard Monot, cité par Pierre Jovanovic, commente cette démission comme le symptôme grave de la désunion européenne, prélude à l’éclatement futur de la zone euro par un choc inflationniste. Dans ce contexte, la France doit retrouver sa souveraineté avant la chute. On assiste déjà au retour des Gilets jaunes et les hausses inflationnistes des prix annoncent des conflits sociaux violents, dès lors que les dépenses de nourriture arrivent à 40% du budget des ménages